darkestfenix
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Long story short, the government believes the requirement for having done enriched math classes in high school should be removed for several technical programs such as:
Explain to me how someone who doesn't have "advanced" knowledge in HIGH SCHOOL math can do any accounting or science related?
Way to go for inflating degrees, setting up students clearly without proper knowledge or background for failure and generally believing that education is a right and not a privilege.
We just want to keep stuffing more idiots into classrooms, as if there aren't enough... and then make everything easier.
Quebec #1.
- Techniques de comptabilité et de gestion,
- Procédés chimiques
- Technologie de l’électronique.
Explain to me how someone who doesn't have "advanced" knowledge in HIGH SCHOOL math can do any accounting or science related?
Way to go for inflating degrees, setting up students clearly without proper knowledge or background for failure and generally believing that education is a right and not a privilege.
We just want to keep stuffing more idiots into classrooms, as if there aren't enough... and then make everything easier.
Quebec #1.
Les enseignants craignent un nivellement par le bas
Les mathématiques enrichies ne seraient plus requises dans 22 programmes au cégep
STÉPHANIE GENDRON
Mercredi, 27 janvier 2016 00:00
MISE à JOUR Mercredi, 27 janvier 2016 00:00
LA POCATIÈRE | Les élèves du secondaire pourraient bien ne plus avoir besoin de leurs mathématiques enrichies dès l’automne prochain pour entrer dans plusieurs programmes collégiaux qui les exigeaient auparavant.
Québec souhaite ainsi attirer davantage d’étudiants dans une vingtaine de programmes où il y a pénurie, comme Techniques de comptabilité et de gestion, Procédés chimiques et Technologie de l’électronique.
Les enseignants de mathématiques estiment inacceptable ce possible nivellement par le bas, dans l’objectif de rendre des programmes techniques accessibles à un plus grand nombre d’élèves.
«On fonce vers la catastrophe. Les jeunes vont se casser la gueule, et qui sera responsable de les ramasser à la petite cuillère?» se demande Ivan Constantineau, président de l’Association mathématique du Québec (AMQ) et professeur au Collège Montmorency.
«Ça part d’une bonne intention, mais c’est trop expéditif et ça manque de vision», croit Cécile Viel, professeure de mathématiques au cégep de La Pocatière, au Bas-Saint-Laurent.
Pas de consultations
Comme certains de ses collègues, Mme Viel reproche au ministère de l’Éducation d’avoir lancé son processus de révision des conditions sans consulter directement les professeurs.
«C’est un mépris total envers les mathématiciens. Nous avons été complètement évincés», renchérit Ivan Constantineau.
Malgré des communications lancées auprès du gouvernement, l’AMQ déplore un manque de réponses et estime avoir de bonnes raisons de s’inquiéter.
«Présentement, aucun changement dans les programmes techniques n’est prévu ou annoncé si les préalables sont abaissés. On anticipe qu’il sera plus difficile de travailler avec des étudiants ayant des formations différentes au secondaire dans une même classe, certains ayant des connaissances de base et d’autres des maths enrichies, dans un programme où la logique mathématique est primordiale», se questionne Cécile Viel.
Le ministère de l’Éducation n’a pas commenté le dossier, malgré les appels du Journal.
http://www.journaldequebec.com/2016/01/27/les-enseignants-craignent-un-nivellement-par-le-bas