Dibbs
Well-known member
Excuse moi je ne suis pas sur de comprendre ton post.mais ce n,est pas la même affaire que dans le temps que couche-tard avait les A et les B
la tes BCE-PR-E-T sont 17.47$/share, donne 0.114 chaque mois , donc x3 donne 0,342$ chaque trimestre ensuite tu doubles vu qu'elle vaut la moitié d'un share BCE.to donc t'es à 0,684$ le share
BCE.to c'est 0.9975$ par share chaque trimestre
en cas de restructuration vu que la dette est de 40 milliards , est-ce quelqu'un qui a les BCR-PR-E-T est protégé ?
BCE.TO en ce moment c’est ~12% de dividend yield en assumant $4/an. La réalité c’est que BCE.TO devrait trader autour de 6% de dividend yield, donc les gens s’attendent a une coupe de 50% du dividende. Donc quand tu investis à 12% de yield aujourd’hui, tu devrais t’attendre à ce que ton yield soit plutôt de 6%.
Pour ce qui est des prefs, les dividendes sont fixes ou variables dans le temps. Pour BCE.PR.E ils sont variables et basé sur le taux PRIME. La formule du dividende étant $25 (notional value) * PRIME / 12 = dividende par mois.
Dans mon cas, j’ai acheté les prefs autour de $15-16. La mathematique au moment de l’achat:
Achat de $15.50 avec une dette au taux PRIME
Au mois #1
Dividende de $25 * PRIME / 12
Paiement d’intérêt de $15.50 * PRIME / 12
Avec PRIME = 5.20%, je collecte un spread de 3.20% pour repayer la dette (crée de l’equité + la plus -value sur les actions qui sont à presque $18 maintenant)
Tout ça en étant fiscalement avantageux, pcq mes taxes sur les dividendes sont 100% couvertes par mes paiements d’intérêts.
Même si PRIME descend au niveau de la COVID, la mathematique fonctionne encore pour que les dividendes remboursent mon prêt, même si ca rend le remboursement plus long. Dans un scenario ou PRIME descend, les prefs devraient monter de valeur puisque le taux d’actualisation baisse, alors je devrai me retrouver gagnant sur la plus-value des actions.
Pour revenir à ce que je disais, si demain matin, BCE coupe le dividende sur BCE.TO, le dividende des prefs n’est pas impacté et l’investissement des prefs moins risqués puisque maintenant BCE dispose de $1.8 milliards de plus pour réinvestir dans leur business, réduire de la dette, etc., ce qui bénéficie d’un point de vue risque le reste des autres stakeholders (prefs, dette, etc.).