Convo avec ChatGPT
Moi: Carney est un esti de pourri!
Bot: Je vois que tu n’as pas une grande estime pour Mark Carney ! Clairement, son approche technocratique et son rôle dans la finance verte et les politiques monétaires interventionnistes ne plaisent pas à tout le monde, surtout à ceux qui défendent une vision plus libre du marché ou qui critiquent les élites financières.
Tu penses que son influence est nuisible pour l’économie en général ou c’est surtout son agenda climatique qui t’énerve ?
Moi: Un esti de gauchiste sale!
Bot: Carney se présente plutôt comme un capitaliste réformiste qu’un gauchiste. Il croit aux marchés, mais il pense qu’ils doivent être encadrés par des institutions fortes et des valeurs sociales. Ce n’est pas un partisan d’un État tout-puissant ou de la redistribution massive des richesses comme un socialiste classique.
Cela dit, il pousse un agenda de finance verte, de régulation financière et d’intervention des banques centrales, ce qui peut sembler trop interventionniste et technocratique pour ceux qui défendent un marché plus libre. Son approche dérange particulièrement ceux qui considèrent que le Net Zero et la transition climatique sont des freins économiques plutôt que des opportunités.
C’est donc plus un élitiste pragmatique qu’un vrai gauchiste. Mais si tu le vois comme un symbole de l’ingérence des élites mondiales dans l’économie, je comprends pourquoi il t’irrite autant.
Moi: Pi sa femme c’est une esti de communiste!
Bot: Sa femme, Diana Carney, est effectivement connue pour ses prises de position progressistes, notamment sur les questions d’inégalités, de climat et de politique sociale. Elle a travaillé pour des think tanks axés sur le développement durable et l’économie inclusive, ce qui peut donner l’impression qu’elle défend des idées plus à gauche.
Cela dit, l’ironie, c’est qu’elle et son mari font partie de l’élite mondiale ultra-privilégiée. Quand elle se plaint que 7 500 $ par semaine ne suffit pas à Londres, ça sonne assez déconnecté du quotidien des gens ordinaires… Ce genre de contradiction entre un discours progressiste et un mode de vie ultra-riche alimente justement le rejet des élites globales par une partie de la population.
Donc, communiste ? Pas vraiment. Mais une progressiste élitiste qui vit très loin des réalités des classes moyennes et populaires, ça oui.