http://www.journaldemontreal.com/2012/10/12/un-cas-probleme-connuDepuis la petite école
Stéfanie Trudeau traîne la réputation de personne violente depuis l’école primaire. Un de ses anciens camarades de l’école Saint-Michel à Brossard, puis de l’école secondaire Antoine-Brossard, se souvient d’elle comme d’une bagarreuse.
«Je regarde les images d’aujourd’hui et j’ai des flashbacks de quand on était à l’école. Elle était pareille. Elle se battait avec les gars. Elle parlait pareil. Elle était toujours en conflit», raconte l’homme aujourd’hui âgé de 40 ans sous le couvert de l’anonymat.
Ses camarades de classe lui avaient même attribué un sobriquet sur mesure : «Câlisse de tabarnak», en référence au langage ordurier qui était déjà le sien.
Dès sa jeunesse, on se questionnait sur les aptitudes qu’avait celle qui voulait suivre les traces de son père et devenir policière.
«C’était marqué sur son front», se souvient son ex-camarade, en constatant le pétrin dans lequel elle se trouve aujourd’hui.
comment faites-vous pour juger la personne aussi radicalement avec même pas 25% de l'information
Je ne dis pas qu'elle est innocente
mais j'ai l'impression que dans ce texte ainsi que la video il nous manque énormement d'information pour porter un jugement claire.
#1. Pensez vous vraiment qu'elle fesait juste passer par la et a decider d'arreter la premiere personne avec un biere ou bien qq'un a fait un call a la police pour une raison quelconque qui a fait venir la voiture sur les lieux? C'est étrange que les gens de la videos n'explique pas comment elle est arrivé sur les lieux.
#2. Pourquoi les gens de la video n'ont pas porté pleintes encore et ce sont empressé d'aller aux medias?
#3. tres etrange que la policiere accroche un bouton pour appeller et que la reaction de l'interlocuteur est d'enregistrer la conversation. Si c'est un voicemail il a un bon plan car ca semble plus long que ma limite de temps pour ma messagerie vocale cette conversation.
#4. Puis-je avoir le modele de téléphone car la qualité sonore est vraiment impeccable avec les victimes sur la banquette arriere qui devraient se débattre et elle qui a oublié le téléphone soit dans la valise ou dans un tas de trucs sur le plancher passager ou dans une poche de ses pantalons.
#5. Qule genre de personnes voit son chum se faire tabasser et replique "tu fais mal a mon ami!" en pleurnichant, on dirais que quelqu'un épure ses propos parce qu'il sait tres bien qu'il film et le film ne semble pas etre en continue donc qui sait ce qui s'est dit hors du video
cette histoire sent tres mauvaise et je ne suis vraiment pas dans une situation pour dire qui a bien agi ou mal agi dans aucun des parti.
Ceux qui condamnent un des deux groupes avec l'info présente sont probablement omniscient
"5. Qule genre de personnes voit son chum se faire tabasser et replique "tu fais mal a mon ami!" en pleurnichant, on dirais que quelqu'un épure ses propos parce qu'il sait tres bien qu'il film et le film ne semble pas etre en continue donc qui sait ce qui s'est dit hors du video"
t'es ti en train de condamner un des 2 groupes là ?!?!
comment faites-vous pour juger la personne aussi radicalement avec même pas 25% de l'information
Je ne dis pas qu'elle est innocente
mais j'ai l'impression que dans ce texte ainsi que la video il nous manque énormement d'information pour porter un jugement claire.
#1. Pensez vous vraiment qu'elle fesait juste passer par la et a decider d'arreter la premiere personne avec un biere ou bien qq'un a fait un call a la police pour une raison quelconque qui a fait venir la voiture sur les lieux? C'est étrange que les gens de la videos n'explique pas comment elle est arrivé sur les lieux.
#2. Pourquoi les gens de la video n'ont pas porté pleintes encore et ce sont empressé d'aller aux medias?
#3. tres etrange que la policiere accroche un bouton pour appeller et que la reaction de l'interlocuteur est d'enregistrer la conversation. Si c'est un voicemail il a un bon plan car ca semble plus long que ma limite de temps pour ma messagerie vocale cette conversation.
#4. Puis-je avoir le modele de téléphone car la qualité sonore est vraiment impeccable avec les victimes sur la banquette arriere qui devraient se débattre et elle qui a oublié le téléphone soit dans la valise ou dans un tas de trucs sur le plancher passager ou dans une poche de ses pantalons.
#5. Qule genre de personnes voit son chum se faire tabasser et replique "tu fais mal a mon ami!" en pleurnichant, on dirais que quelqu'un épure ses propos parce qu'il sait tres bien qu'il film et le film ne semble pas etre en continue donc qui sait ce qui s'est dit hors du video
cette histoire sent tres mauvaise et je ne suis vraiment pas dans une situation pour dire qui a bien agi ou mal agi dans aucun des parti.
Ceux qui condamnent un des deux groupes avec l'info présente sont probablement omniscient
a doit feeler doux en osti ses jours ci.
address please.
C'est arrivé il y a presque 10 ans, mais le souvenir que garde Paul Boyer de sa rencontre avec l'agente Stéfanie Trudeau, le soir de l'Halloween 2003, et des troubles qui ont suivi est toujours bien imprimé dans sa mémoire. «C'était de l'abus de pouvoir. Ce fut un tourment psychologique incroyable», dit ce résidant du quartier Centre-Sud.
M. Boyer a été interpellé rudement par la policière, le 31 octobre 2003 vers 22h, dans le quartier, en raison de la manière dont il manoeuvrait la poussette de sa fille. «Je revenais d'une fête d'Halloween. Ma conjointe était restée là-bas, et moi, je rentrais à pied à la maison pour coucher ma fille.» Selon ses explications, M. Boyer faisait des facéties avec la poussette dans une côte, pour distraire sa fillette.
À un certain moment, les agentes Stéfanie Trudeau et Anabelle Roy l'ont interpellé, apparemment parce qu'elles ont cru que l'enfant était en danger. Interloqué et ne comprenant pas ce qui se passait, M. Boyer a voulu avoir des explications, mais l'agente Trudeau lui a ordonné de «fermer sa gueule» et de lui donner son permis de conduire. Il a vu qu'il n'y avait pas de discussion possible.
«J'ai fermé ma gueule, raconte M. Boyer. Elles m'ont embarqué de force dans l'auto de police, en arrière, avec les portes barrées. Je n'étais pas menotté, mais elles ont pris ma fille en avant avec elles. Elles nous ont reconduits à la maison. Ma fille n'était même pas attachée en avant. Le lendemain, la DPJ est venue chez nous.»
Après être sorti de cette malencontreuse situation, il a porté plainte en déontologie contre les deux policières, le 1er décembre 2003. Il leur a imputé un abus d'autorité, un manque de probité, leur a reproché d'avoir utilisé une force plus grande que nécessaire, de l'avoir accusé sans fondement et d'avoir manqué de respect et de politesse à son égard. Il est aussi allé se plaindre au supérieur de la policière. «J'ai cassé leur équipe», dit-il, en parlant de Mme Trudeau et de Mme Roy. Quoi qu'il en soit, le commissaire à la déontologie a fini par entendre la plainte, qu'il a rejetée, en 2005. «Ça prend des preuves. Ils se tiennent tous. Il aurait fallu que j'aie des bleus, des témoins...», s'indigne M. Boyer.
Néanmoins, pour lui, l'affaire était terminée. Mais pas pour Mmes Trudeau et Roy, qui l'ont poursuivi en cour des petites créances. Les deux policières alléguaient que, en portant plainte en déontologie, M. Boyer avait agi par malice et avec mauvaise foi dans le but de leur nuire. Elles lui réclamaient toutes deux 7000$, le maximum permis aux petites créances.
M. Boyer a évidemment dû se défendre, ce qui lui a causé des tracas supplémentaires. En juin 2007, le juge Sylvain Coutlée a rejeté la réclamation des policières. Rien dans l'analyse du commissaire et dans la preuve présentée ne permettait de conclure à la mauvaise foi de M. Boyer, a conclu le juge.
M. Boyer, un charpentier qui se décrit comme un père de famille tranquille, affirme qu'il n'avait jamais eu affaire à la police auparavant. Cette expérience lui a laissé un goût bien amer. Quand La Presse l'a joint, hier, il n'avait pas vu la vidéo impliquant la policière Trudeau, souvent désignée comme matricule 728, mais il avait entendu la bande audio. «D'après moi, les policiers ont du mal avec elle. Mon appréciation, c'est qu'elle est complètement disjonctée. Quand je suis allé en déontologie, j'ai dit: je ne sais pas ce qu'ils prennent comme drogue, mais c'est hyper, c'est dangereux.»
«Et on leur met une arme dans les poches», ajoute-t-il avec dépit. La Presse a tenté d'obtenir la décision du commissaire rendue en 2005, mais comme la plainte n'a pas été retenue, le dossier est confidentiel, a indiqué le commissaire à la déontologie, Claude Simard.
Julian Menezes, le plaignant, se trouvait sur le Plateau Mont-Royal quand il a croisé un cycliste portant le carré rouge, le matricule 728 et un autre policier. M. Menezes dit s'être enquis de la situation et proposé d'être témoin pour contester l'amende que le cycliste venait de recevoir et qu'il estimait injustifiée.
C'est alors que les deux policiers auraient menotté M. Menezes pour l'embarquer dans la voiture.
Il a eu l'impression d'avoir la cheville foulée, puis affirme avoir demandé à la policière les raisons de son arrestation et refusé de lui donner son nom. C'est alors que Mme Trudeau lui aurait déclaré : « Je vais te donner une leçon ».
Elle aurait alors accéléré puis freiné brutalement pour que le jeune homme se heurte la tête contre la fenêtre de séparation entre l'avant et l'arrière du véhicule de police. Le jeune homme évoque aussi des insultes racistes et des menaces d'être emprisonné pour s'y faire agresser sexuellement. Les policiers l'auraient ensuite laissé dans le quartier de Crémazie, vers 3 h 30 du matin, après lui avoir donné une contravention. Ils auraient ri après lui avoir demandé s'il avait assez d'argent pour prendre un taxi, ce qui n'était pas le cas.
t'es dans la police pour avoir autant de prejuges toi aussi ?