Cringe thread: Only the worst edition.

Tucker: Calif. is challenging integrity of the union
Tucker's Thoughts: The country's biggest state is punishing its citizens for following federal law. California is fighting on the behalf of a foreign population that has no right to be here in the first place. Helping Americans isn't the point. Illegal immigration makes their donors richer and ensures their re-election.
 

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Eh ben, ils vont être déçu ces SJW. Ils n'ont rien compris au challenge des paradigmes. Personne n'est obligé de s'asseoir comme le design l'a pensé.

Demandez à Mitsou. Vire la chaise de bord, et hop problème résolu.

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Laurel's pair of chairs, titled A Solution for Man-Spreading, were created as a tongue-in-cheek response to both hers and other womens' day-to-day experiences of "manspreading".

"I think humour is a really interesting tool in order to tackle social issues," she told Dezeen.
Maudits SJWs! Ils utilisent maintenant l'humour.
 
Toi, qui est un SJW de toi-même, est-ce que tu trouves que c'est une bonne utilisation de l'humour?

Je considère que c'est une personne utilisant sa liberté d'expression et ne nuisant pas aux autres, ça ne me dérange pas.

D'ailleurs, il faudrait trouver un terme pour décrire les personnes qui parcourent l'internet à la recherche de choses qui les offensent et qui les postent sur un forum automobile de troisième ordre.
 
Elle rajoute quand même que le manspreading est une «*social issue*»

Ça prend ben des Millennials pour penser comme ça. Prends cette initiative de leur fameuse chaise "anti-manspreading", voyages dans le temps et recules dans les années 80 et 90. Imagines la réaction des gens de cette époque à cette hérésie. Ces SJWs se feraient traiter de tapettes sur un ostie vrai temps.


D'ailleurs, il faudrait trouver un terme pour décrire les personnes qui parcourent l'internet à la recherche de choses qui les offensent et qui les postent sur un forum automobile de troisième ordre.

Je ne vois personne d'offenser ici qui cadre dans ta définition. Ceux qui se sentent offenser ici sont ceux qui accusent certains de raciste/nazi/misogyne/far-right qui ne le sont même pas en réalité. lol
 
D’après moi y’a ben des problèmes pour plus importants que de se préoccuper de comment un homme s’assoit.
 
D’après moi y’a ben des problèmes pour plus importants que de se préoccuper de comment un homme s’assoit.

Heille, ne va pas dicter comment les féministes doivent percevoir les grands enjeux de notre société. Elles ont des solutions pour tout! /s (les féministes sont aussi la cause de ces problèmes, mais ça, on peut pas en parler sans être accusé de misogyne)
 
I found something that beats everything we've seen in this thread, so far:

https://www.lapresse.ca/societe/201908/10/01-5236979-lactatia-drag-queen-a-10-ans.php

À 2 ans et demi, Nemis Quinn Mélançon a demandé à sa mère de le maquiller. Trois ans plus tard, il a imaginé une chorégraphie sur la chanson Break Free, d’Ariana Grande, vêtu d’un tutu rose. Peu avant ses 8 ans, il a réalisé que toutes ses passions le poussaient à devenir drag-queen. Depuis, son alter ego, Lactatia, est l’un des enfants drags les plus connus de la planète !

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Repéré en 2017 dans la foule d’un spectacle de Bianca Del Rio à Montréal, alors qu’il était lui-même habillé en drag, Nemis a été invité sur la scène : les vidéos de Lactatia et de la célèbre drag-queen sont vite devenues virales. Instantanément, les médias de partout ont voulu parler à Nemis, ce qui a obligé ses parents à faire le tri. « On refuse les entrevues des médias qui veulent seulement soulever la controverse », explique sa mère, Jessica Mélançon.

« Si je n’ai pas envie de le faire, on décline poliment », renchérit Nemis, qui ajoute avoir adoré la séance photo avec Teen Vogue. « Il y avait une grosse table d’accessoires seulement pour moi, deux maquilleurs, un artiste de manucure et une personne aux perruques ! »

Au fond, Nemis ne fait rien d’autre que se costumer, se maquiller et préparer des numéros pour le plaisir. Le jour où sa grande sœur lui a suggéré de regarder RuPaul’s Drag Race, il a eu une révélation. « Je voulais absolument essayer la drag après avoir découvert l’émission ! J’aime particulièrement Ginger Minj de la septième saison parce qu’elle est super divertissante. Je m’inspire beaucoup d’elle. J’aime faire réagir les gens. »

Sa mère confirme que son garçon essaie toujours d’attirer l’attention dans un groupe. Une perception qu’il s’empresse de nuancer avec une éloquence étonnante chez un enfant de 10 ans.

« Parfois, je me sens très gêné, j’ai peur de faire certaines choses ou de parler aux gens. Mais tout ça disparaît en drag. Je me sens plus confiant. »

Nemis Quinn Mélançon, alias Lactatia

La drag est donc un désir naturel chez lui et non un choix imposé par ses parents. « Beaucoup pensent qu’on l’a forcé à devenir une drag-queen et qu’on fait ça pour l’argent, dit Mme Mélançon. Pourtant, mon mari et moi, on est plutôt heavy metal. Si on l’avait poussé à faire quoi que ce soit, ç’aurait été de s’habiller tout en noir et de jouer de la basse dans un groupe de metal. »

« Ils ne font pas d’argent avec la drag ! réagit Nemis. Si je fais des prestations rémunérées, ça me revient pour que je m’achète des perruques ou des jouets, ça ne revient pas à mes parents pour qu’ils s’achètent de nouveaux téléphones… »

Drag Kids
Les Quinn Mélançon, qui se décrivent comme des parents non conventionnels, ont tout simplement embrassé la passion de leur fils.

« Je sais que tous les parents ne réagiraient pas ainsi et je trouve ça tellement triste. On est conditionnés à s’en faire avec ce que les autres pensent de nous : les voisins, la famille ou l’Église. Nous, on s’en fout ! », lance Jessica Mélançon.

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Ils se préoccupent toutefois du bien-être de Nemis/Lactatia. En effet, la jeune drag-queen ne peut pas se produire dans les bars ou dans les salles réservées au public adulte. « On accepte les invitations des évènements familiaux pour tous les âges, comme le spectacle de House of Laureen au Pied-du-Courant. On participe à la représentation de 20 h, mais pas à celle de 22 h. »

En avril dernier, le festival Hot Docs de Toronto a présenté en première le documentaire Drag Kids, auquel Nemis et sa famille ont participé afin de démystifier l’art de la drag pour les enfants — deux réalités parfois difficiles à concilier. Si la drag est un art coloré, flamboyant et extrêmement créatif, nombre de critiques lui reprochent de promouvoir la féminité toxique. Jessica Mélançon explique qu’elle n’a pas permis à Nemis de changer l’allure de son corps pour se vieillir.

« Il ne peut pas mettre de fausse poitrine ou du rembourrage pour avoir des courbes ni se dessiner un faux décolleté. Il doit suivre sa ligne de puberté. S’il veut être un enfant drag, il doit demeurer un enfant. »

Jessica Mélançon, mère de Nemis

Des principes que le garçon accepte sans rechigner. « Je suis d’accord avec mes parents. J’ai quand même hâte au jour où je pourrai mettre de faux seins. Mais c’est très cher. Je ne sais pas si j’en ai besoin. »

Ils doivent aussi composer avec les limites de l’hypersexualisation dans les numéros de drag. « Nemis fait du voguing avec les poses hypersexuées. Mais beaucoup de personnes que j’ai consultées me rappellent que de nombreuses formes de danse peuvent être perçues de manière sexuelle, comme le hip-hop, le ballet ou le contemporain. Dans notre famille, on est très sex positive et body positive. Mais c’est une question complexe. »

Vivre avec l’incompréhension
Autre élément avec lequel il est difficile de composer : les réactions des camarades de classe. « En général, les jeunes à l’école ne comprennent pas la drag, dit Nemis. Ils ne font pas la différence entre ça et vouloir être trans. »

L’équipe-école a aussi du mal à composer avec le plaisir qu’a Nemis à jouer avec les codes de genre, en portant, par exemple, un short rose, un t-shirt à motifs d’arc-en-ciel ou une robe. « Une enseignante m’a écrit un courriel pour m’avertir que mon fils s’était habillé en fille pour aller à l’école, relate sa mère. Elle a même dit qu’il était travesti… »

Elle refuse toutefois d’imposer à Nemis des vêtements de garçon.

« Il porte ce qu’il veut. Et il pourra mettre du maquillage s’il le désire quand il sera au secondaire. Je suis une maman progressive, mais j’ai conservé certaines vieilles règles de mes parents. »

Jessica Mélançon, mère de Nemis

La situation s’envenime parfois quand le garçon est victime d’intimidation. « Nemis est l’enfant différent, celui qui est ouvertement queer. C’est difficile à gérer avec les autres jeunes. S’ils l’intimident ou l’attaquent, Nemis va répliquer encore plus fort. »

Elle décrit une situation où un intimidateur a poussé Nemis dans un trou d’eau. « Nemis a passé la journée à accumuler de la gomme pour la lui coller dans les cheveux. Le garçon a dû se faire couper beaucoup de cheveux… Je lui ai expliqué qu’il devait gérer ça différemment cette année à l’école. »

Diverti par l’anecdote, Nemis ne semble pas s’en faire. « Les réactions des autres m’amusent beaucoup. Ça ne me blesse pas. »

La même désinvolture l’habite sur les réseaux sociaux. Suivie par plus de 28 000 personnes sur Instagram et 44 000 sur Facebook, Lactatia ne reçoit presque jamais de commentaires haineux, contrairement à beaucoup d’autres enfants drags.

« Les messages négatifs sont rares, mais on ne répond jamais aux trolls et aux haters, dit sa mère. On les bloque et on demande aux personnes qui nous suivent de ne leur donner aucune attention. »

Très demandé, Nemis se rendra à Denver le 18 août pour participer à la soirée Dragutante. « C’est l’équivalent du bal des débutantes pour les jeunes filles qui font leur entrée dans le monde, mais pour les drags de moins de 18 ans. »

Dans quelques années, Nemis aimerait beaucoup participer à Drag Race Canada. Mais d’ici là, ses parents le tiennent à distance des compétitions. « Si World of Wonder, la compagnie qui produit RuPaul’s Drag Race, lançait Drag Race Junior, je serais contre, dit Jessica Mélançon. Les jeunes n’ont pas assez d’expérience. Ils vont être épuisés et dans la ligne de mire de beaucoup trop de critiques. Les parents vont être mis les uns contre les autres. Et les possibles contrecoups sur l’internet sont énormes. Ce serait une mauvaise idée. »


Heu... comment est-ce que c'est legal de faire des spectacles de drag queen avec des enfants? DPJ Much? Des fois je me dis que Kossak a raison sur certains points. Pis la c'est pas un article du Journal de Mourreal ni Tivia Nouvelles la, c'est La Presse.

D'ailleurs cette semaine pour on sait pas quelle raison, ils sont tapissés d'articles sur les fierte gai, trans, etc. CJAD on meme change leur logo pour un logo arc-en-ciel (un poste de radio qui rebrand son logo c'est phenomenal...)

WTF?
 

Fun fact: Ceux qui protestent à Hong Kong sont dans les osties mêmes moules des leftists qui ont manifesté au Printemps Érable icitte. Des osties trainneux de savates millénials qui ne travaillent pas et qui étudient à moitié. Tout le monde les détestent à Hong Kong. Ils font honte à tous les Cantonais.
 
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