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L’Europe est comme un immense hall de gare dans lequel la dégustation gratuite, pratiquée à grande échelle, attire les Barbares de la terre tout entière.
De plus en plus nombreux, ces Barbares se regroupent par affinités olfactives pour revendiquer leur droit à la pestilence, à leur pestilence.
Et il se trouvera toujours dans les multiples salles de ce vaste hall des acteurs soporifiques islamo-humanitaro-gauchisants, et donc des fascistes qui vous écrasent de leur Bien-Pensance, de leur pensée unique, de leur rhétorique tissée de mots-valises, des chantres en mal de médiatisation pour nous chanter le droit des Barbares à promouvoir leurs miasmes et leurs pustules un peu partout, selon leur politique qui se résume à ceci : pousse toi que je m’y mette.
Après quoi, ces collabobos s’en retourneront dans leurs lofts douillets, la conscience tranquille du devoir accompli, pour s’adonner à leurs débauches onéreuses, mais bien entendu, loin des Barbares qu’ils défendent à bout de bras : les Barbares, c’est pour les autres, par pour eux, faites ce que je vous dis…
Pendant ce temps, notre « hall de gare » européen déborde des défécations et ruisselle de l’urée de cette humanité brutale qui se résout par principe à n’être que des systèmes digestifs, sans la moindre gratitude à l’égard de ceux qui les nourrissent.
Désœuvrée, elle déambule dans les rayons de ce lieu d’accueil pour piller ce qu’elle ne peut se procurer, et briser ou brûler ce qu’on lui refuse.
Malheur à qui veut rappeler à ce marigot exogène les règles du jeu de ce lieu dans lequel personne ne le convia, où il s’auto-invita sans vergogne, profitant du laxisme des lois et des élites autoproclamées.
Les envahisseurs sont en pays conquis, ils appellent cela dans leur langage la uma.
Parvenu au stade d’infestation où nous en sommes arrivés, et pressentant l’infection galopante du lieu, point n’est besoin d’être très clairvoyant pour comprendre que seul le feu aura raison de cette invasion.
De même qu’il est des situations où, pour se survivre à elle-même, la République doit se renier, de même, il en est d’autres où, pour résister à son étouffement, la civilisation doit redevenir momentanément plus barbare que les Barbares d’en face.
Libre aux pacifistes et autres thuriféraires de tous les renoncements de vouloir mourir à genoux, à condition toutefois que leur disparition ne concerne qu’eux, et pas les autres.''
http://www.pvr-zone.ca/suicide_peuples_europeens.htm
