Le point que le monde ne semble pas comprendre, c'est qu'il y a une différence entre ce que Mike Ward a le droit de dire dans ses shows (ce qui n'est limité que par la loi) et ce qu'il a le droit de dire dans un sketch soumis au droit de regard de l'organisme qui lui paie son (gros) cachet. C'est pas sa liberté d'expression qui est en jeu mais plutôt son chèque de paie.
Il y a deux types de personnes qui regarde le gala des Oliviers: les matantes qui veulent voir leurs veudettes et la communauté artistique québécoise qui aime bien ce genre d'activité de masturbation collective. Ils n'aiment pas la controverse et la direction du gala ne fait qu'essayer de plaire à son public en demandant un humour fade et inoffensif.