C'est pas du cheap labor. C'est du adequately priced labor. Un job tellement low-skill, que t'as même pas besoin de parler la langue de tes collègues, ça vaut pas cher de l'heure.
Mais t'inquiète, mes gars prennent des cours de français, ils suivent des formations professionelles, et on travaillent sur leur croissance dans l'entreprise plutôt que de ''profiter'' d'eux comme tu pense. Je travaille avec emplois québec et des maisons internationales, et les postes low-skills c'est la première étape. Après un an ou deux, quand il parlent bien, qu'ils connaissent la business et comment ça marche, ils sont formés pour des meilleurs postes, et des revenus très intéréssants.
Il y a très peu de Québécois qui sont game à prendre le temps d'engager et de former des immigrants. Ils voient un CV avec un nom bizarre, puis ca va dans la déchiqueteuse. Je dirais que la plupart du monde ont l'esprit aussi étroit que le tiens.