Darwin award au palais de Justice de Maniwaki bonus video !

Imagine les policiers black qui "doivent protéger les droits" lors de manifestations des extrémistes néo-nazi au USA!

Yup... Plusieurs videos la dessus. Cas de conscience en ostie. Y'en as que ca a du prendre toute leur ptit change pour pas leur calisser une taloche en arrière de la tete ou "oops, c'est parti tout seul"...
 
Maniwaki: des agents de sécurité ont failli à leur mandat

Faque d'un bord on a le gouvernement qui dit que les agents de sécurité devait intervenir et de l'autre ta le syndicat qui dit yé pas sa job à moins que ce soit écrit et je sais pas si c'est écrit pour eux mais se l'est jamais souvent faque c'est sa.

*slow clap*

Wouain, j'ai lu ca a matin.

Donc la question est... c'est ecrit ou ca l'est pas dans l'calisse de contrat?

Parce que si ca l'est, y'as une couple agents qui sont dans marde solide.

Si ca l'est pas... On verras.
 
Patrick Pellerin, président du Syndicat des agentes et agents de sécurité du Québec (affilié au Syndicat des Métallos, section locale 8922), invite toutefois à la prudence.

« Il arrive que des clients disent avoir fait la demande, mais que les tâches ne soient pas inscrites au contrat. Pour nous, si ce n'est pas demandé sur papier, ce n'est pas viable », a dit M. Pellerin en entrevue téléphonique.

« Demander des procédures claires, c'est un combat qu'on mène à longueur d'année. »

La Presse n'a pas été en mesure de consulter le document décrivant le mandat de Garda. M. Pellerin a par ailleurs affirmé être lui-même encore au stade de la cueillette d'informations sur l'altercation de Maniwaki.

Selon lui, les limites de la fonction d'agent de sécurité à l'intérieur d'un palais de justice ne sont pas suffisamment circonscrites.

Il faut savoir qu'un agent de sécurité n'est pas investi des mêmes pouvoirs qu'un constable spécial. L'agent de sécurité, notamment, ne peut pas pratiquer d'arrestations ou passer les menottes à un prévenu. Ses droits, rappelle M. Pellerin, sont ceux d'un citoyen ordinaire, et sa mission reste de rapporter les événements aux forces de l'ordre.

« C'est sûr que quand on voit quelqu'un se faire agresser, je ne peux pas être en accord si les agents ne bougent pas du tout, nuance-t-il. Mais je veux bien comprendre la situation avant de lancer la pierre. »

« Par exemple, illustre-t-il, les agents qui supervisent le transport de prévenus, ils sont responsables du [détenu] pendant le trajet, mais rendus au palais, est-ce que ça devient la responsabilité du constable spécial ? C'est une ligne mince qui gagnerait à être définie. »

Pour Franck Perales, président du Syndicat des constables spéciaux du gouvernement du Québec (SCSGQ), il n'y a pas de confusion : « Comme tous les citoyens, un agent de sécurité doit porter assistance à quelqu'un qui lui demande de l'aide si ça ne met pas sa vie en danger. Si un agent de la paix a besoin d'aide, un agent de sécurité a le pouvoir de l'aider. »


Si ça vie ne le mets pas en danger, en effet. Une intervention peut dérapé assez vite, et ce en mille façon et même si les agents auraient intervenue physiquement.

Dans l'accident de Maniwaki, il ne fait aucun doute, pour M. Perales, que les agents de sécurité ont failli à leur tâche. « Dans la vidéo, on entend le constable demander de l'aide, et personne n'agit. Au nombre qu'ils étaient, les agents de sécurité auraient pu maîtriser le jeune homme et éviter ce malheureux événement. »

Encore une fois, le constable a demande de l'aide mais est-ce que les agents étaient formée adéquatement pour intervenir tout en assurant à leur sécurité et celle du constable, ou encore, des gens qui regardait la scène?

FORMATION

Depuis des années, le SCSGQ réclame davantage de constables spéciaux dans les palais de justice de la province. Les agents de sécurité, argue-t-il, n'ont pas la formation suffisante pour les assister dans leur travail.

Pour exercer son métier au Québec, un agent de sécurité doit posséder un permis de gardiennage (surveillance ou protection de personnes, de biens ou de lieux) délivré par le Bureau de la sécurité privée (BSP). Pour ce faire, il doit d'abord réussir une formation de 70 heures dispensée dans une commission scolaire. Les techniques d'intervention physique sont couvertes dans un module de 30 heures au nom très large de « milieu, fonction, législation et normes de comportement », nous a écrit une porte-parole du BSP.


70hres est la formation minimale pour acquérir une licence du BSP maintenant mais dans une partie d'un cours de 30 hrs, genre 5-10 heures, on devient balck belt en judo ou autres. Oui oui. Un constable fait 3 mois à Nicolet et lui à Maniwaki ne pouvait pas le maitriser seul.

Les agents dont on s'attend qu'ils pratiquent de telles interventions sur une base régulière dans le cadre de leur travail doivent donc recevoir une formation additionnelle. Et, en vertu de leur convention collective, ils recevront une prime de 1,25 $ l'heure.


Il faudrait savoir si les agents touchaient leurs primes, de leurs formations additionnelles.

Un problème apparaît, selon Patrick Pellerin, quand des clients présument que les agents peuvent procéder à des interventions, mais sans en faire la demande clairement. Il est donc possible, effectivement, que des agents ne soient pas assez formés.

« On fait beaucoup de prévention pour que les agents soient formés adéquatement, insiste M. Pellerin. Et si leur employeur ne veut pas collaborer, on demande à un inspecteur en santé-sécurité de s'en mêler. »

Il n'a toutefois pas été possible de savoir si les gardiens de sécurité du palais de justice de Maniwaki disposaient de la formation nécessaire pour une intervention physique.

...
 
Les agents avaient deux choix,

#1 Venir en aide à un constable spécial qui demande de l'aide si ils pensent pouvoir maîtriser la situation et ne craignent pas pour leur vie

ou bien

#2 Se sauver pour se mettre à l'abri craignant pour leur vie.


Ce qu'il ne peuvent pas faire c’est de rester dans le cadre de porte à ne rien faire comme un chevreuil qui voit des phares pendant que le constable se fait battre.


Ces agents sont clairement incompétent face à la situation et semblent nouveaux. On dirait presque que c'est leur premières journée sur la job. Et LOL à la formation d'intervention physique, en gros ca consiste à montrer pendant une après-midi deux ou trois points de pression à matante ginette pour qu'elle puisse maîtriser le prochain Hells qui va foutre la marde dans le parking qu'elle va surveillée ... useless
 
x2 la formation physique le monde pensent que les agents sont formés ceinture noire 8e degré en krav maga ou kekchose.

bitch please ils regardent un vidéo de 3 minutes
 
x2 la formation physique le monde pensent que les agents sont formés ceinture noire 8e degré en krav maga ou kekchose.

bitch please ils regardent un vidéo de 3 minutes

Sont pas mal plus ceinture noir en krav diner
 
Toute façon peu importe la formation, s'il n'y a pas de budget ensuite pour des pratiques régulières, tout ça s'oublie très vite.
Tu deviens pas un pro des contrôles articulaires avec 1 journée de pratique par année.
 
Toute façon peu importe la formation, s'il n'y a pas de budget ensuite pour des pratiques régulières, tout ça s'oublie très vite.
Tu deviens pas un pro des contrôles articulaires avec 1 journée de pratique par année.

Exact.

Tout le monde qui doit travailler en intervention physique sait que sans pratique, c’est pas long que tu perds la twist.
 
Le ticoune a été accusé pour ses crimes contre le constable spécial.


Selon le document judiciaire obtenu par La Presse, tout a commencé après que Bertrand-St-Amour a eu une conversation avec son avocat. Il serait alors devenu agité et a dû être maîtrisé par des agents de Garda.

Mais une altercation a suivi et a rapidement dégénéré.

« Le constable de la Cour a alors été appelé à intervenir. Étant incapable de le contrôler physiquement, le constable spécial a sorti en premier lieu son poivre de Cayenne suivi de son bâton télescopique pour tenter de maîtriser le jeune homme. Lors de la mise de menottes, le constable a perdu le contrôle de son bâton télescopique pendant la mêlée et le bâton a été saisi par Bertrand-St-Amour. Le constable spécial a reçu au moins deux coups de bâton à la tête, lui causant des coupures et des saignements. Blessé à la tête, étourdi et affaibli, le constable a sorti son arme et a pointé Bertrand-St-Amour en lui ordonnant de ne plus bouger. Mais celui-ci a foncé vers le constable spécial qui, menacé, a fait feu en direction de Bertrand-St-Amour qui a été atteint d'un projectile à la tête », raconte le policier montréalais dans le document.
 
fak yé tu mort phteeven on ben on va le nourrir a cuillere toute sa vie?

Yé bien en vie et rétablis à se qui parait. En plus y voulais voler une banque et tuer un policier.

En début d'après-midi hier, Steven Bertrand-St-Amour, qui s'est vraisemblablement assez bien remis de sa grave blessure, [...]

Rixe à Maniwaki: le jeune prévenu atteint par balle a été accusé

La Presse a mis la main sur un document judiciaire rédigé par un enquêteur des Crimes majeurs du SPVM qui révèle l'existence d'un rapport d'évaluation rédigé avant les événements dans lequel il est écrit que Steven Bertrand-St-Amour aurait eu comme « projet d'avenir de faire une banque et de tuer un policier ».

On y apprend également qu'un témoin a indiqué aux policiers que Bertrand-St-Amour aurait fait une rechute de consommation de drogue.

Ce témoin affirme aussi que le matin du drame, le jeune homme aurait congédié son avocat pour en prendre un autre. Au même moment, il aurait mentionné que jamais il ne retournerait en détention, que si c'était le cas, il aurait été prêt à tuer quelqu'un.
 
C'était clair depuis le début que ce gars là était un petit crotté issue d'une famille de petits crottés.
Le constable semble avoir bien suivi les étapes avant d'en arriver à la force létale. ( qui ne le fut pas dans ce cas précis)
 
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