http://www.journaldemontreal.com/20...e-sportif-de-rds-defend-sa-reputation-en-cour
lol
c'est qui cet animateur de radio là?
« [Stéphane Leroux] n’a jamais agressé, abusé, ou de quelques manières que ce soit, agit de façon incorrecte ou inconvenante, ni lors de périodes de célibat, ni durant la période de son mariage, auprès de quelques femmes [sic] que ce soit », soutient la demande introductive d’instance déposée en Cour supérieure le 16 mars dernier, dont Le Journal a obtenu copie.
Le litige remonte au 26 février lorsque l’ancien animateur de radio Gary Daigneault a publié sur Facebook un long message dans lequel il qualifie le journaliste de « prédateur » de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ).
Il affirmait alors avoir obtenu les témoignages de cinq femmes alléguant avoir été victimes de gestes inappropriés de la part de M. Leroux, « qui seraient aujourd’hui qualifiés d’inconduites sexuelles », peut-on lire dans la poursuite.
M. Daigneault ajoute même que « deux de ces victimes étaient mineures au moment des faits ».
Selon la poursuite, il s’agit d’« accusations fausses, dégradantes, et totalement diffamatoires ».
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« [Stéphane Leroux] n’a jamais agressé, abusé, ou de quelques manières que ce soit, agit de façon incorrecte ou inconvenante, ni lors de périodes de célibat, ni durant la période de son mariage, auprès de quelques femmes [sic] que ce soit », soutient la demande introductive d’instance déposée en Cour supérieure le 16 mars dernier, dont Le Journal a obtenu copie.
Le litige remonte au 26 février lorsque l’ancien animateur de radio Gary Daigneault a publié sur Facebook un long message dans lequel il qualifie le journaliste de « prédateur » de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ).
Il affirmait alors avoir obtenu les témoignages de cinq femmes alléguant avoir été victimes de gestes inappropriés de la part de M. Leroux, « qui seraient aujourd’hui qualifiés d’inconduites sexuelles », peut-on lire dans la poursuite.
M. Daigneault ajoute même que « deux de ces victimes étaient mineures au moment des faits ».
Selon la poursuite, il s’agit d’« accusations fausses, dégradantes, et totalement diffamatoires ».