VQNismo
New member
Retour vers le futur
Qui contrôle le passé, contrôle le futur ; qui contrôle le présent, contrôle le passé
George Orwell, 1984.
Lorsque j'évoque mes pensées par écrit, c'est toujours lorsque je suis dans un état de relâchement et que je laisse les mots aller d'eux-mêmes. Je m'adonne pour la plupart du temps au visionnement de films, que ce soit des comédies, des thrillers, des drames et plus récemment de la science-fiction. Même dans des moments comme ceux-ci, il y a toujours des dimensions, des sujets et des thèmes qui me ramènent à mes réflexions. Les films de Stanley Kubrick ou d'Oliver Stone ont cette vocation, celle de nous faire voir une réalité frappante. Steven Spielberg, lorsque nous nous attardons à sa mise en oeuvre et du thème principal, propose lui aussi un certain niveau d'intellectualisme auquel il est facile de s'y accrocher. J'ai écouté récemment les 3 volets de Retour vers le futur et il est étonnant de constater que les sujets abordés, celui du voyage dans le temps et de la modification des événements, sont au coeur de nos vies et de la société, mais au sens figuré.
Voyez par vous mêmes comment une simple histoire d'événements peut faire boule de neige. Au travail ou aux réunions familiales, il est faciles de transformer de simples oui-dires en rumeurs, de simples pourparlers en émois et de simples cas de divergences de valeurs en mépris absolu. Ils font leur bonhomme de chemin et changent la perspective et l'attitude des gens en un claquement de doigts. Le plus inquiétant, c'est lorsque les institutions d'ordres commerciales ou politiques jouent le jeu afin de créer des mouvements de masse à leur avantage et au détriment des moins nantis.
On le voit par nous-mêmes lorsqu'on nous parle de la traite des noirs comme un fait historique mondial, ou encore lorsqu'on associe le nationalisme le plus épuré au nazisme. Ils vont même jusqu'à utiliser la peur pour dissuader tout ceux qui ne sont pas en accord avec eux. Plus récemment au Québec, l'enquête sur le racisme systémique en est un bon exemple. Voilà comment, en évoquant le passé sous un angle parfois relatif et parfois faux, ils arrivent à nous diviser afin de ne jamais laisser place à une vraie démocratie. Pis encore, ils arrivent parfois à mépriser l'histoire, la nôtre et celle de nos ancêtres, de sorte que nous perdions nos racines et notre identité.
Dans un monde ou il est impossible pour un seul homme de renverser un système de contrôle des individus, il est important que chacun et chacune renoue avec son passé plutôt que de tomber dans le piège du refus et de la honte. Nous avons tout à apprendre des gens qui ont façonner la société pour la rendre meilleure et qui avait un sens du devoir et de l'éthique. Il faut décortiquer l'histoire de Lionel Groulx pour y voir le désir de donner les premières institutions d'enseignements de renom et de rendre possible la vie intellectuel chez les québécois. Un autre exemple, celle de Maurice Duplessis, celui que nous avons traîner dans la boue durant des décennies; c'est grâce à un homme de sa trempe que les premiers grands projets de programmes sociaux ont prit part.
Bien qu'il y ait peu d'hommes qui ont pu élever la société à un niveau supérieur, il est important pour nous de ne jamais oublier notre histoire à travers nos succès, nos échecs, nos joies et nos peines. C'est en se rappelant et en évoquant que nous arrivons à nous reconnaître et à nous voir comme une grande famille plutôt qu'une poignée d'individus interchangeables aux yeux des compagnies et des élites de ce monde.
Qui contrôle le passé, contrôle le futur ; qui contrôle le présent, contrôle le passé
George Orwell, 1984.
Lorsque j'évoque mes pensées par écrit, c'est toujours lorsque je suis dans un état de relâchement et que je laisse les mots aller d'eux-mêmes. Je m'adonne pour la plupart du temps au visionnement de films, que ce soit des comédies, des thrillers, des drames et plus récemment de la science-fiction. Même dans des moments comme ceux-ci, il y a toujours des dimensions, des sujets et des thèmes qui me ramènent à mes réflexions. Les films de Stanley Kubrick ou d'Oliver Stone ont cette vocation, celle de nous faire voir une réalité frappante. Steven Spielberg, lorsque nous nous attardons à sa mise en oeuvre et du thème principal, propose lui aussi un certain niveau d'intellectualisme auquel il est facile de s'y accrocher. J'ai écouté récemment les 3 volets de Retour vers le futur et il est étonnant de constater que les sujets abordés, celui du voyage dans le temps et de la modification des événements, sont au coeur de nos vies et de la société, mais au sens figuré.
Voyez par vous mêmes comment une simple histoire d'événements peut faire boule de neige. Au travail ou aux réunions familiales, il est faciles de transformer de simples oui-dires en rumeurs, de simples pourparlers en émois et de simples cas de divergences de valeurs en mépris absolu. Ils font leur bonhomme de chemin et changent la perspective et l'attitude des gens en un claquement de doigts. Le plus inquiétant, c'est lorsque les institutions d'ordres commerciales ou politiques jouent le jeu afin de créer des mouvements de masse à leur avantage et au détriment des moins nantis.
On le voit par nous-mêmes lorsqu'on nous parle de la traite des noirs comme un fait historique mondial, ou encore lorsqu'on associe le nationalisme le plus épuré au nazisme. Ils vont même jusqu'à utiliser la peur pour dissuader tout ceux qui ne sont pas en accord avec eux. Plus récemment au Québec, l'enquête sur le racisme systémique en est un bon exemple. Voilà comment, en évoquant le passé sous un angle parfois relatif et parfois faux, ils arrivent à nous diviser afin de ne jamais laisser place à une vraie démocratie. Pis encore, ils arrivent parfois à mépriser l'histoire, la nôtre et celle de nos ancêtres, de sorte que nous perdions nos racines et notre identité.
Dans un monde ou il est impossible pour un seul homme de renverser un système de contrôle des individus, il est important que chacun et chacune renoue avec son passé plutôt que de tomber dans le piège du refus et de la honte. Nous avons tout à apprendre des gens qui ont façonner la société pour la rendre meilleure et qui avait un sens du devoir et de l'éthique. Il faut décortiquer l'histoire de Lionel Groulx pour y voir le désir de donner les premières institutions d'enseignements de renom et de rendre possible la vie intellectuel chez les québécois. Un autre exemple, celle de Maurice Duplessis, celui que nous avons traîner dans la boue durant des décennies; c'est grâce à un homme de sa trempe que les premiers grands projets de programmes sociaux ont prit part.
Bien qu'il y ait peu d'hommes qui ont pu élever la société à un niveau supérieur, il est important pour nous de ne jamais oublier notre histoire à travers nos succès, nos échecs, nos joies et nos peines. C'est en se rappelant et en évoquant que nous arrivons à nous reconnaître et à nous voir comme une grande famille plutôt qu'une poignée d'individus interchangeables aux yeux des compagnies et des élites de ce monde.