SQDC Thread

wow yeah even yesterday went at ~2hPM freaking big line-up in terrebonne, wtf, usually affter 8hPM there's not much of a ine up, but there's not much left in the store either, btw. the generic indica that's 18.X something percent is pretty decent, very nice lime taste and good clean buzz, honestly I have a doubt it's indica, but none the less this one is worth it, don't forget to get beforehand some boveda humidity packs, they are a little bit dry, most of the ones I bought,although when crumbled into a joint it isn't that bad, boveda pack fixes that anyway,

also, has anyone bought a sativa from they're stores that actually gets you high, I'm talking about 15%+ thc ones, Imean for me it's like I didn't even smoke.... it's nuts....
 
cest comme IKEA.... mais a chaque jour... ben du mercredi au vendredi la. Parce que en fermant deux jour on pense que ca va réglé le probleme.

Ben non criss ca fait juste plus de monde a porte le jeudi, surtout que cest le jour de paye. Si tu veux pas de monde, ferme le jeudi vendredi loll

Raconte nous comment tu serais tellement un bon gestionnaire pour gérer la situation de first world problem.
 
Raconte nous comment tu serais tellement un bon gestionnaire pour gérer la situation de first world problem.

Ils avait juste a inclure les amateurs dans l'équation comme le propose le bloc pot. Il manque pas de pot au québec. Il manque de pot de l'oligopole fédérale seulement. Sur 137 fournisseur ils ont des ententes avec 6 seulement. Ces fournisseur vont fournir leur clients médicaux de longue date avant de fournir le récréatif.

1: plus de fournisseur
2: Il y a déja 15 000 permis juste au québec, parmis eu il y a des DG (désignated grower) qui font poussé légalement pour quelqu'un d'autre. Ca serait quoi de racheter leur surplus, les testé, et les mettre sur la tablette? Au lieu de sa Santé Canada recommande de jeter le cannabis avec de la litière.
3: les dispensaires n'en manque pas de cannabis, online ou sur rue, pourquoi ne pas leur offrire de les légaliser en respectant les règles?
 
Lol.
You want to get stoned.
Sativas will wake you up and make you high to make you functional. Sometimes hyperfunctional, great for writing and philosophy. Plus sativas can have super awesome tastes because of more complex terpene profiles than indicas.

You will never be able to get stoned by smoking sativa. That is the reason why you rarely find sativas on the street. They dont sell. People complain: that shit dont get me stoned! I feel nothing.

I may not know as much as some "experts" here, but trust me I know what's the difference between indica/sativa as well as from what original breeds of sativas that have been now mixed to give new strains work better or not for me.... this within most of the strains I've tried, that being said the ones I tried untill now from sqdc even if 15%+thc they felt more like 4%thc and 15% cdb lol...
 
Hier au centre ville vers 9h30 il devait y avoir une centaine de personnes qui attendaient l'ouverture. J'y croyait pas.

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Every morning there is a line up of BS, mid 40s looking pedos, and university students with nothing better to do. This morning was shorter though only halfway down.
 
Hier au centre ville vers 9h30 il devait y avoir une centaine de personnes qui attendaient l'ouverture. J'y croyait pas.

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Lol, je suis passé sur st Hubert en soirée l'autre fois et y'avait du monde mais pas de line up dehors. J'ai rien acheté les vaporiseurs de cbd étaient juste en grosse quantité à 80$/ch.
 
Ils avait juste a inclure les amateurs dans l'équation comme le propose le bloc pot. Il manque pas de pot au québec. Il manque de pot de l'oligopole fédérale seulement. Sur 137 fournisseur ils ont des ententes avec 6 seulement. Ces fournisseur vont fournir leur clients médicaux de longue date avant de fournir le récréatif.

1: plus de fournisseur
2: Il y a déja 15 000 permis juste au québec, parmis eu il y a des DG (désignated grower) qui font poussé légalement pour quelqu'un d'autre. Ca serait quoi de racheter leur surplus, les testé, et les mettre sur la tablette? Au lieu de sa Santé Canada recommande de jeter le cannabis avec de la litière.
3: les dispensaires n'en manque pas de cannabis, online ou sur rue, pourquoi ne pas leur offrire de les légaliser en respectant les règles?

Des microbrasseries du pot.. C'est sur que ça marcherait super bien en plus. Probablement plus que la sqdc, comme la bière à la SAQ...
 
Des microbrasseries du pot.. C'est sur que ça marcherait super bien en plus. Probablement plus que la sqdc, comme la bière à la SAQ...

carrément et le processus de license au fédéral existe deja pour les micro grow. On parle de 200m² de jardin incluant la pousse a verticale. C'est suffisamment pour faire plaisirs aux artisants sans coupé l'herbe sous le pieds de leur fleuron Hexo qui ont des serres immense.
 
Mango 22.5%
Embalé le 2 novembre

Y’a l’air solide en criss

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Des microbrasseries du pot.. C'est sur que ça marcherait super bien en plus. Probablement plus que la sqdc, comme la bière à la SAQ...

On peut avoir le même discours pour le vin et le spiritueux: on commence a produire de bons produits au Québec, malheureusement sa ne rentre pas dans la définition de la SAQ because not enough volume.

Bye Bye Saq PLZ
 
On peut avoir le même discours pour le vin et le spiritueux: on commence a produire de bons produits au Québec, malheureusement sa ne rentre pas dans la définition de la SAQ because not enough volume.

Bye Bye Saq PLZ

Le vin du québec aura sont appellation d'origine controllé:
https://www.lapresse.ca/actualites/201811/13/01-5204090-le-vin-du-quebec-obtient-son-appellation.php

En poste depuis à peine plus d'un mois, le gouvernement Legault répond à une demande de longue date des vignerons québécois. Le ministre de l'Agriculture, André Lamontagne, annoncera vendredi la création d'une Indication géographique protégée (IGP) pour les vins de la province, selon ce qu'a appris La Presse.

Une nouvelle IGP

Après le maïs de Neuville, le cidre de glace et le vin de glace, c'est au tour du vin du Québec d'obtenir son appellation. Cette Indication géographique protégée avait été demandée il y a trois ans par l'industrie viticole afin de mieux promouvoir les produits auprès des consommateurs et d'en assurer la qualité. De l'avis de nombreux vignerons, le déclenchement des élections provinciales a retardé l'annonce. Le changement de gouvernement n'a toutefois pas retardé l'entrée en vigueur de l'appellation, puisqu'elle sera rétroactive. Les vins de la vendange 2018 auront droit à l'IGP, selon les informations obtenues. Le cabinet du ministre Lamontagne n'a pas rappelé La Presse pour confirmer la nouvelle.

Pas de nouvelles exigences

Pour obtenir l'IGP, les vins du Québec devront respecter plusieurs règles. Parmi celles-ci, les produits devront être élaborés à 100 % avec des raisins cultivés dans la province. De plus, ils devront être soumis à un test de goût à l'aveugle afin d'éliminer ceux ayant des défauts. La première dégustation des vins d'appellation aura lieu en mars prochain en collaboration avec la Société des alcools. De l'avis de plusieurs vignerons, les règles pour obtenir l'IGP seront peu différentes de celles déjà en vigueur pour obtenir la certification. « C'est du copié-collé, a résumé un producteur interrogé. Les vignerons qui ont déjà la certification n'auront pas de mal à obtenir l'IGP. »

Certification

Ailleurs au Canada, les vignerons adhèrent plutôt à la Vintners Quality Alliance (VQA), regroupement auquel les producteurs québécois ne se sont pas ralliés en 2008. Les producteurs d'ici ont créé l'année suivante leur propre certification afin de réglementer l'origine des raisins et la qualité des vins. Ces règles avaient été mises en place par l'Association des vignerons du Québec et une trentaine de producteurs y adhèrent. L'arrivée de l'IGP signera l'arrêt de mort de cette certification. Les consommateurs verront d'ailleurs apparaître un nouveau logo sur plusieurs bouteilles de vin du Québec, mais pas toutes. Les producteurs ne sont pas obligés de soumettre leurs produits à l'appellation.

Crédibilité

Même si l'IGP changera peu les règles déjà en place, les producteurs comptent sur cette appellation pour augmenter la crédibilité de leurs produits auprès des consommateurs locaux et même à l'étranger. « On manque de vin, explique un producteur. La demande dépasse l'offre et c'est autant plus vrai pour les vins certifiés. Plusieurs restaurants ne veulent que des vins certifiés sur leur carte. » C'est le cas du groupe Sportscene dont font partie les restaurants La Cage. La chaîne souhaite ajouter davantage de vins locaux à son offre et peine à trouver suffisamment de vins certifiés pour répondre à sa demande, précise le vice-président image de marque et innovation, Louis-François Marcotte.

Régions viticoles

L'obtention de l'IGP pour les vins du Québec facilitera une autre démarche entreprise par les producteurs : la délimitation de régions viticoles québécoises. Depuis plusieurs mois, le MAPAQ et l'auteure Nadia Fournier étudient la géologie et le climat afin de définir et de caractériser les zones viticoles. On pourrait ainsi bientôt voir apparaître des vins d'appellation portant le nom de différentes régions, comme le « Piémont appalachien » en Estrie ou encore la « Vallée du Richelieu » en Montérégie. Les vignerons espèrent également une aide financière de Québec pour planter davantage de vignes et pour acheter de l'équipement.

Automne difficile

L'annonce de l'IGP est un baume pour de nombreux producteurs qui subissent un automne difficile. L'été chaud et sec annonçait une vendange prometteuse, mais la météo a rapidement donné du fil à retordre aux vignerons. Les premiers gels sont arrivés avant même que tous les raisins ne soient récoltés, surtout dans l'est du Québec, freinant d'un coup leur maturité. La pluie a compliqué les récoltes, et maintenant le froid retarde différents travaux comme la taille. Alors que la neige tombe bon train à Québec, certains vignerons de la région n'ont même pas encore terminé de poser leur toile isolante sur les vignes.


C'est p-e un début pour le dé-monopolisé. Aussi avec le procès de l'Australie qui poursuit le gouvernement du québec.

Je souhaiterais que les région puissent offrir eux même ce qu'ils produisent sur leur terroir. Plus les années avance plus il est difficile de gagner son pain en restant en région.

On est du pour un réforme du modèle de l'alcool également.
 
Du Sativa c’est supposé energiser lol ? J’ai fumé du blue dream à matin et dormi toute la journée.

Blue Dream, a sativa-dominant hybrid originating in California, has achieved legendary status among West Coast strains. Crossing a Blueberry indica with the sativa Haze, Blue Dream balances full-body relaxation with gentle cerebral invigoration.
https://www.leafly.com/hybrid/blue-dream

Faudrait t'essai un 100% sativa et oui sa allume.

J'ai essayé le Helios (maui wowie) de Hexo et sa allume pas pire. Je me suis 0 senti endormi.
https://www.leafly.com/sativa/maui-wowie
 
[...]

C'est p-e un début pour le dé-monopolisé. Aussi avec le procès de l'Australie qui poursuit le gouvernement du québec.

Je souhaiterais que les région puissent offrir eux même ce qu'ils produisent sur leur terroir. Plus les années avance plus il est difficile de gagner son pain en restant en région.

On est du pour un réforme du modèle de l'alcool également.

L'appelation contrôlé c'est pour protéger la réputation du produit, surtout à l'international. Pour moi sa fait pas un plis sa différence (IMO).

Ce que je reproche à SAQ c'est qu'on lève le nez sur des producteurs d'ici pcq pas assez de volume.
Sans nécessairement abolir complètement la SAQ, permettre la saine compétition avec le privé ferait juste du sens au-lieu de devoir se rendre directement chez le cultivateur pour obtenir ses produits. Et comme tu dis, sa permettrait a des producteurs dans les campagnes de pouvoir se développer engager du monde et exporter à l'international, que se soit alcool ou cannabis.


Encore une fois, qu'est-ce que le gouvernement vient foutre dans la vente au détail.
 
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