VQNismo
New member
Salutation,
Pour ceux qui me connaissent depuis quelques années, vous pouvez constater que je m'intéresse beaucoup à tout ce qui englobe l'aspect social sous un angle philosophique. Bien qu'on m'ait fait savoir que mes textes d'opinions n'avaient pas leurs place ici, je crois que celui-ci se doit d'être publié afin de mieux cerner les problèmes de communications qui surviennent à l'occasion lors de discussion sur le forum. Là où je me suis arrêté est sur un jugement de valeur qui revient souvent pour clore un débat et qui tourne autour du secteur ou de la région d'où vient l'interlocuteur, comme si cette zone empêchait toutes personnes qui y résident d'avoir un jugement éclairé. Laissez moi vous montrer qu'il y a un monde très semblable entre la vie urbaine et la vie rurale.
Je commencerais le tout avec une anecdote de jeunesse. Plusieurs croient que je suis natif de Granby alors qu'en réalité je suis natif de Montréal, plus spécifiquement le secteur Hochelaga. J'ai vécu les 15 premières années de ma vie en ville jusqu'au décès du copain de ma mère. À l'exception de la routine obligatoire que nous impose le mode de vie occidental (boulot, école, garderie, etc.), nos week-end se résumaient beaucoup à de longues marches jusqu'au centre-ville ou alors on passait des heures dans un 4 et demi à écouter des films et jouer au Nintendo. Mes parents croisaient à l'occasion des collègues de travail et des vieilles connaissances, mais il n'y avait pas beaucoup d'activités sociales entre amis. Même moi lorsque j'étais à l'école je changeais souvent de gang puisque beaucoup déménageaient ou changeaient d'école, donc pas facile d'entretenir des liens forts.
Lors de mon adolescence, ma mère décida de retourner dans sa ville natale, soit Shefford. C'est à ce moment que j'ai eu un clash: je découvrais alors les relations sociales à long terme puisque ce patelin était tricoté serré. Je me suis alors à faire partie d'un club de hockey et aller à des partys en plein air où tout le monde se connaissait.
Bien que je vivais un tournant important de ma vie, il me manquait quelque chose d'essentiel. Je n'étais pas heureux peu importe l'endroit où j'étais. Je ressentais la même solitude que lorsque nous vivions à 3 en plein Montréal et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi parce que j'étais entouré de beaucoup de gens. Comme on le dit souvent, le temps fait bien son oeuvre.
J'ai découvert depuis peu que peu importe l'endroit d'ou tu viens, l'essentiel est de façonner ton monde selon ton environnement. Je remarque que les gens de la ville ont un imaginaire et des connaissances en vogues beaucoup plus élargies que les gens en campagne. D'un autre côté, les gens de campagne sont beaucoup plus techniques et analytiques, peut-être parce qu'ils devaient faire avec ce qu'ils avaient comme véhicules récréatifs et dans un si vaste espace. L'important est de se développer au meilleur de nous mêmes et ensuite vient le bonheur. Bien souvent, on peut être d'excellent technicien, mais pas d'excellent intellectuel: c'est là où réside la clé de voûte d'un avenir meilleur.
Imaginez la collaboration de tous les talents pour un seul projet qui nous unit.*La réponse qui guérira tout les maux de la Terre se trouve dans cette seule théorie. Alors, si un jour quelqu'un émet son opinion sous un angle plus simple, n'hésitez pas à le laisser s'exprimer. Des fois la vérité se trouve lorsque les choses sont ramenés à la base. Et si un jour quelqu'un émet son opinion sous un angle analytique et décortiqué, n'hésitez pas à l'écouter et voir plus loin que votre seule envie d'avoir raison à tout prix. Toutes discussions doivent aider à faire grandir les autres et par la suite construire quelque chose de plus grand pour nous et l'avenir.
J'espère ne pas avoir été trop chiant avec vous
J'avais juste besoin de passer un message qui me parait essentiel.
Pour ceux qui me connaissent depuis quelques années, vous pouvez constater que je m'intéresse beaucoup à tout ce qui englobe l'aspect social sous un angle philosophique. Bien qu'on m'ait fait savoir que mes textes d'opinions n'avaient pas leurs place ici, je crois que celui-ci se doit d'être publié afin de mieux cerner les problèmes de communications qui surviennent à l'occasion lors de discussion sur le forum. Là où je me suis arrêté est sur un jugement de valeur qui revient souvent pour clore un débat et qui tourne autour du secteur ou de la région d'où vient l'interlocuteur, comme si cette zone empêchait toutes personnes qui y résident d'avoir un jugement éclairé. Laissez moi vous montrer qu'il y a un monde très semblable entre la vie urbaine et la vie rurale.
Je commencerais le tout avec une anecdote de jeunesse. Plusieurs croient que je suis natif de Granby alors qu'en réalité je suis natif de Montréal, plus spécifiquement le secteur Hochelaga. J'ai vécu les 15 premières années de ma vie en ville jusqu'au décès du copain de ma mère. À l'exception de la routine obligatoire que nous impose le mode de vie occidental (boulot, école, garderie, etc.), nos week-end se résumaient beaucoup à de longues marches jusqu'au centre-ville ou alors on passait des heures dans un 4 et demi à écouter des films et jouer au Nintendo. Mes parents croisaient à l'occasion des collègues de travail et des vieilles connaissances, mais il n'y avait pas beaucoup d'activités sociales entre amis. Même moi lorsque j'étais à l'école je changeais souvent de gang puisque beaucoup déménageaient ou changeaient d'école, donc pas facile d'entretenir des liens forts.
Lors de mon adolescence, ma mère décida de retourner dans sa ville natale, soit Shefford. C'est à ce moment que j'ai eu un clash: je découvrais alors les relations sociales à long terme puisque ce patelin était tricoté serré. Je me suis alors à faire partie d'un club de hockey et aller à des partys en plein air où tout le monde se connaissait.
Bien que je vivais un tournant important de ma vie, il me manquait quelque chose d'essentiel. Je n'étais pas heureux peu importe l'endroit où j'étais. Je ressentais la même solitude que lorsque nous vivions à 3 en plein Montréal et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi parce que j'étais entouré de beaucoup de gens. Comme on le dit souvent, le temps fait bien son oeuvre.
J'ai découvert depuis peu que peu importe l'endroit d'ou tu viens, l'essentiel est de façonner ton monde selon ton environnement. Je remarque que les gens de la ville ont un imaginaire et des connaissances en vogues beaucoup plus élargies que les gens en campagne. D'un autre côté, les gens de campagne sont beaucoup plus techniques et analytiques, peut-être parce qu'ils devaient faire avec ce qu'ils avaient comme véhicules récréatifs et dans un si vaste espace. L'important est de se développer au meilleur de nous mêmes et ensuite vient le bonheur. Bien souvent, on peut être d'excellent technicien, mais pas d'excellent intellectuel: c'est là où réside la clé de voûte d'un avenir meilleur.
Imaginez la collaboration de tous les talents pour un seul projet qui nous unit.*La réponse qui guérira tout les maux de la Terre se trouve dans cette seule théorie. Alors, si un jour quelqu'un émet son opinion sous un angle plus simple, n'hésitez pas à le laisser s'exprimer. Des fois la vérité se trouve lorsque les choses sont ramenés à la base. Et si un jour quelqu'un émet son opinion sous un angle analytique et décortiqué, n'hésitez pas à l'écouter et voir plus loin que votre seule envie d'avoir raison à tout prix. Toutes discussions doivent aider à faire grandir les autres et par la suite construire quelque chose de plus grand pour nous et l'avenir.
J'espère ne pas avoir été trop chiant avec vous
J'avais juste besoin de passer un message qui me parait essentiel.
