AsunaMAXXX
Legacy Member
Surpris qu'il n'y aille pas de thread sur ça , le fameux article de Denise Bombardier qui voulait jeter de l'huile sur le feu et faire oublier ses déclarations sur les francophones hors Québec hehe , peut-être aussi qu'elle voulait retourner a Tout le monde en parle pour être le centre d'attention encore une fois
L'article : https://www.journaldemontreal.com/2020/01/10/etre-a-la-mode
Beau shit show sur les réseaux sociaux
Je ne comprend pas cette mode , il est plus dur de trouver quelqu'un sans tatouage de nos jours ( je parle de quelqu'un de 18 ans et + surtout une fille ), la mode '' ink '' , quand presque chaque membre de l'UDA en a un , personnellement l'art je l'aime mieux accroché sur un mur , un tableau , une oeuvre , une murale style graffiti
Je crois même que l'on peut parler de radicalisation du tatouage, quand c'est rendu que t'es tatoués dans le visage ou dans le coup jusqu'au oreille , la personne cherche a provoquer quoi ? une réaction ? un malaise ? exposer ses problèmes de santé mentale ? comme la folle de St-Calixte qui a démolie l'intérieur d'une maison
de l'autre bord du spectre , tu as toute les niaiseuses du 450 avec le prénom de leurs enfants tatoués, trop blonde pour se rappeler de leurs prénoms ?
Est-ce une secte ?
Depuis quand c'est un pré-requis pour être cuisinier d'avoir 2 sleeves ? est-ce un branding ?
La toxicomane de St-Calixte , faut faire de l'aveuglement volontaire pour louer a une personne comme ça
Le prestataire d'aide social trop lâche pour travailler sa main tatoué
J'aime sa musique , son look amène t-il une plus value , j'en doute
Le gars qui voulait faire parler de lui dans les médias avec son tatou de Denise.... c'est supposé être quoi un VW golf ? LOL
IMO , tu pars avec une prise et je te juge !
L'article : https://www.journaldemontreal.com/2020/01/10/etre-a-la-mode
Rien n’est plus démodé que la mode. C’est pourquoi se vanter d’être à la mode est une posture ridicule qui peut nous entraîner dans des dérapages, voire des culs-de-sac à nous dénaturer sans possibilité de retour à nous-mêmes.
Pensons à la mode du tatouage, qui s’est répandue chez les jeunes aujourd’hui adultes en instance de vieillir. Cette altération du corps de manière quasi irréversible a transformé des êtres en monstres, en personnages de mauvaises bandes dessinées, bref en personnes déshumanisées. Les bras recouverts de dessins aux couleurs criardes, de citations, de dates, de signes cabalistiques, des torses décorés de bêtes fantasmagoriques, d’oiseaux de proie, de papillons bientôt flétris avec l’usure du corps en disent long sur les intentions de ces tatoués. Sur leur incapacité surtout à retrouver leur propre corps. Quelle angoisse cela peut devenir chez ceux qui éprouvent un jour du regret de s’être ainsi mutilés.
Idées à la mode
Il en est de même des idées à la mode sur lesquelles s’abattent tous les obsédés cherchant à s’affranchir des interdits, des tabous et des codes sociaux, moraux ou culturels dont ils se croient prisonniers. Par ignorance, ou par confusion d’esprit, ces gens sautent à pieds joints dans ce qu’ils croient être le progrès et la supériorité sur les honnêtes gens, qui respectent les règles et incarnent la vie ennuyeuse et ratée du « monde ordinaire ».
Ces amateurs à la recherche de toutes les nouveautés parfois illicites et sexuellement déviantes et criminelles se proclament libres et s’estiment au-dessus de la mêlée. Ils se regroupent, car ils se reconnaissent dans des signes et des comportements douteux qui les remplissent de plaisirs plus ou moins pervers.
Victimisation
Attirés par les marginalités diverses, ils tombent facilement dans la victimisation, un statut qu’ils recherchent et leur permet de culpabiliser d’éventuels futés qui arriveraient à les démasquer. Ces abuseurs, exploiteurs et manipulateurs se croient au-dessus des lois, et dans leur omnipotence ils sous-estiment leurs victimes, qu’ils méprisent. Leur réputation leur permet, croient-ils, d’acheter les « faibles », qu’ils ont soumis à leurs vils instincts et à leurs désirs irrépressibles et insatiables.
Un jour, à force de se gaver de puissance, ils commettent un impair impardonnable, celui de se prendre pour Dieu lui-même.
Alors, les langues se délient, car les vraies victimes retrouvent la force d’affirmer leur vérité et leur dignité flétrie. C’est ainsi qu’on voit ces ogres de toutes espèces marcher en déambulatoire dans les lieux où justice sera rendue, ou venir affirmer encore une fois leur parole criminelle enrobée dans des mots qu’ils appellent « l’amour », dans l’espace public d’où ils disparaîtront à jamais avec leurs amis et protecteurs. Mais personne n’a envie de se réjouir. Trop de dégoût habite ceux qui ont souffert et ceux qui se sont indignés de ces comportements abjects.
Beau shit show sur les réseaux sociaux
Je ne comprend pas cette mode , il est plus dur de trouver quelqu'un sans tatouage de nos jours ( je parle de quelqu'un de 18 ans et + surtout une fille ), la mode '' ink '' , quand presque chaque membre de l'UDA en a un , personnellement l'art je l'aime mieux accroché sur un mur , un tableau , une oeuvre , une murale style graffiti
Je crois même que l'on peut parler de radicalisation du tatouage, quand c'est rendu que t'es tatoués dans le visage ou dans le coup jusqu'au oreille , la personne cherche a provoquer quoi ? une réaction ? un malaise ? exposer ses problèmes de santé mentale ? comme la folle de St-Calixte qui a démolie l'intérieur d'une maison
de l'autre bord du spectre , tu as toute les niaiseuses du 450 avec le prénom de leurs enfants tatoués, trop blonde pour se rappeler de leurs prénoms ?
Est-ce une secte ?
Depuis quand c'est un pré-requis pour être cuisinier d'avoir 2 sleeves ? est-ce un branding ?
Le gars qui voulait faire parler de lui dans les médias avec son tatou de Denise.... c'est supposé être quoi un VW golf ? LOL
IMO , tu pars avec une prise et je te juge !
Last edited: