« Dans les études cliniques, ce qu’on a vu, c’est que ce médicament diminue de 88 % à 90 % les risques d’hospitalisation et de décès, c’est très significatif », se réjouit Alain Lamarre, professeur-chercheur spécialisé en immunologie et en virologie à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Ben la tabarnak...
Ça changera rien dans les stats d’ici, car le vieux qui se casse un hanche ou qu’étouffe en mangeant son pudding et qui meurt en étant positif à la COVID, il va quand même être mort de la COVID pour les autorités sanitaires lol