Lorsqu'on va regarder tout ça avec du recul dans, disons, 50 ans, je ne peux pas croire qu'on va arriver à une autre conclusion que la crise de la COVID était d'abord et avant tout un phénomène médiatique. Je ne dis pas que la maladie n'existe pas mais la crisse de folie d'avoir les sites de nouvelles et les journaux avec des compteurs en temps réel du nombre de cas et nombre de morts à longueur de journée a littéralement scrappé une génération d'êtres humains
A part une couple de semaines dans quelques villes dans le monde, personne n'a vu de ses propres yeux l'impact de cette maladie-là. Les hôpitaux n'ont pas débordés, on n'a pas sacrés de morts dans des fosses communes, la VASTE majorité du monde ne connait pas, et ne connaitra pas, personnellement un seul individu de moins de 65 (voir même 75) ans qui est décédé de la maladie.
Et pourtant, il y a encore du monde qui pense que la fin du monde est proche, que la vie ne sera plus jamais la même. Pourquoi? Fort probablement parce qu'on inonde la populace de courbes et tableaux de nombre de cas et de décès sans contexte sur l'âge moyenne des victimes, leurs conditions de santé ou les comparatifs au nombre de décès dans une année "normale".
On n'a jamais fait ça pour aucun autre virus avant celui-là, pourquoi l'avoir fait maintenant? Probablement parce qu'on la technologie pour le faire.
Un peu de perspective. Avec 700 000 morts autour du monde depuis le début de la crise, le COVID-19 représente moins de 2% de tous les décès sur la planète pour l’année 2020. 700 000 morts, c’est moins de la moitié des décès :
- Par accident de la route ou
- la diarrhée ou
- la tuberculose.