Fermez les frontières, un nouveau virus apparaît: La COVID-19

La Suède 3500 nouveaux cas et zéro mort
Il faut comprendre comment ils obtiennent leurs chiffres avant de sauter aux conclusions:

I've heard there is a delay in reporting the numbers. Why is this, and what does it mean?

The Public Health Agency receives the data from Sweden's 21 regions, and there is some delay in getting the full data, especially over weekends and public holidays.

This means that the numbers published each day don't reveal the true number of newly confirmed cases and deaths from the previous 24-hour period.

As a result, it's become usual for the numbers to rise at a slower rate over the weekends or public holidays, before an apparently sharper rise the following day. So it's not always easy to track trends day-by-day.

The agency says on its website: "The number of reported cases is constantly changing as people seek care and are examined for the virus.

"There is some delay in reporting and supplementing data on new cases and deaths, so the numbers from recent days (especially during weekends) should be interpreted with caution. The statistics are compiled daily based on reports received up until 11.30am the same day. The current and previous day's number is incomplete and will only be complete the following day."
 
Quelqu'un de MR.com devrait envoyer le mémo à La Presse. Ils parlent de la Suède comme d'un pays qui s'en sort bien. Ils n'ont vraiment rien compris. Il faut plutôt dire que ce sont les pires et que c'est un véritable cauchemar là-bas. On va les faire rentrer dans le rang. Ça suffit!!



Le point sur la deuxième vague européenne

L’Organisation mondiale de la santé a annoncé à la mi-octobre que l’Europe avait enregistré près de la moitié des cas dans le monde. Face à une deuxième vague beaucoup plus importante que la première, la France a dû se reconfiner vendredi. « L’été dernier, on n’a pas beaucoup limité les voyages. On a levé un peu le couvercle de la marmite et on en paye le prix maintenant », affirme Jean Sibilia, doyen de la faculté de médecine de l’Université de Strasbourg, en France.

Publié le 31 octobre 2020 à 8h00
Alice Girard-BosséALICE GIRARD-BOSSÉ
LA PRESSE

Le 25 octobre dernier, la France a dépassé les 52 000 cas par jour. Au printemps dernier, le nombre de cas maximum avait été atteint le 31 mars avec 7578, soit près de sept fois moins. « La pandémie en France est bien plus sévère qu’au printemps », mentionne le Dr Sibilia. À l’heure actuelle, la Pologne, la République tchèque et la Belgique sont les pays qui comptent le plus de lits occupés, avec 14 631, 6604 et 5924 malades respectivement.

Anna Mia Ekström, professeure clinicienne en épidémiologie des maladies au département de santé publique mondiale de l’Institut Karolinska, en Suède, explique qu’en Europe, le nombre élevé de nouveaux cas est, dans une très large mesure, une conséquence de l’augmentation du nombre de tests.

Ce qu’il faut regarder, c’est le nombre de patients en réanimation et le nombre de décès. En ce moment, on est encore très loin de la situation qu’on avait au printemps.

Anna Mia Ekström, professeure au département de santé publique mondiale de l’Institut Karolinska

En effet, le 15 avril dernier, la France avait atteint 1438 morts en une journée, contre 523 le 27 octobre.

Meilleurs traitements
Jean Sibilia signale que le faible nombre de décès s’explique en partie par le fait que les scientifiques ont réussi à mieux traiter les malades. Il souligne qu’au cours des derniers mois, on a découvert que l’oxygénation à haut débit était très utile afin d’éviter d’intuber un patient. « On arrive maintenant à avoir des séjours en réanimation nettement plus courts, et surtout on sauve près de 40 % de malades en plus. On a vraiment gagné sur le traitement des formes graves », ajoute-t-il.

Bien que le virus ait beaucoup muté ces derniers mois, aucun argument ne permet aux scientifiques de croire que ces mutations l’ont rendu plus agressif, explique le Dr Sibilia. Lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918, la première vague au printemps a été généralement modérée, mais une deuxième vague de grippe beaucoup plus contagieuse et mortelle a eu lieu à l’automne. Heureusement, pour la COVID-19, les symptômes et les groupes à risque sont les mêmes qu’au printemps dernier.

Elle n’est pas plus grave en sévérité, mais elle est beaucoup plus répandue.

Jean Sibilia, doyen de la faculté de médecine de l’Université de Strasbourg

« La COVID-19 est un virus des villes et des transports, explique Jean Sibilia. Notre problème en France, tout comme en Belgique, c’est l’urbanisation intense qui nous met à haut risque de transmission. »

En ville, beaucoup de personnes se déplacent et se croisent, ce qui augmente le risque de transmission. Gaston De Serres, médecin épidémiologiste à l’Institut national de santé publique du Québec, mentionne que le moteur d’une épidémie est le nombre de contacts entre les personnes et qu’il y a généralement plus de contacts en ville que dans les zones moins densément peuplées.

Le virus est également sensible aux variations climatiques. Il aime le froid, l’humidité et l’intérieur. « L’été, on est à l’extérieur, on fait des barbecues et on se promène, donc le virus se diffuse », mentionne Jean Sibilia. À l’automne, le froid et l’humidité, conjugués aux espaces intérieurs mal aérés, ont entraîné une explosion de la circulation du virus.

Le cas de la Suède
Avec généralement moins de 3000 cas et moins de 10 morts par jour depuis la mi-juillet, la Suède s’en sort plutôt bien comparativement à ses voisins européens. « Je pense que la vision du monde selon laquelle la Suède fait très peu pour arrêter la COVID-19 est un énorme malentendu », dit Anna Mia Ekström. La Suède a misé sur une approche souple face à la pandémie.

La Dre Ekström explique que la Santé publique a voulu renforcer l’acceptation et le respect des recommandations par les citoyens, plutôt que d’opter pour des sanctions.

Malgré l’absence d’amendes, les Suédois ont fortement adhéré aux recommandations des autorités sanitaires. « La situation en Suède est mieux maîtrisée que dans la plupart des autres pays d’Europe, qui connaissent une nette augmentation des cas », indique la Dre Ekström.

Le pari de la ventilation en Allemagne
Le gouvernement allemand a investi l’équivalent de 775 millions de dollars canadiens dans l’amélioration des systèmes de ventilation des bâtiments publics. La ventilation réduit le risque de transmission du SARS-CoV-2 par les aérosols. C’est un des moyens les moins coûteux et les plus efficaces pour prévenir la transmission du virus, a mentionné la chancelière allemande, Angela Merkel.

Les ministres de l’Éducation des différents États allemands ont souligné l’importance d’aérer les classes toutes les 15 à 20 minutes, pendant 5 minutes au printemps et à l’automne et 3 minutes en hiver. C’est une technique déjà largement répandue en Allemagne où il est conseillé d’ouvrir les fenêtres de sa demeure matin et soir pendant au moins 5 minutes pour permettre à l’air de circuler.

Les pays européens les plus touchés
(nombre de cas pour 100 000 habitants)

1- République tchèque (62)

2- France (61)

3- Roumanie (57)

4- Belgique (51)

5- Pologne (39)
 
C’est excellente nouvelle pour moi si jamais la mise à jour des systèmes de ventilation est mise de l’avant au Québec aussi :D
 
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French people will have to show documents to justify being out of the house lol
 

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French people will have to show documents to justify being out of the house lol

C’était pareil durant la première vague, même affaire avec l’Espagne


La France étudie pour faire fermer tous les rayons qui n’ont pas de lien avec un bien essentiel dans les supermarchés pour s’assurer à ce que ce soit seulement pour de la bouffe que les gens sortent de chez eux
 
Article écrit par un media sensationnaliste de droite, juste le style d'écriture est malaisant

En plus d'être faux, Macron a clairement dit qu'il serait permis de voyager pour la toussaint. Comme le premier confinement certains on choisi de le faire à leur maison de campagne à la place de leur appartement de 30m2.
 
LA SITUATION AU QUÉBEC EN DATE DU 31 OCTOBRE 2020
- 106 016 personnes infectées (+1064)
- 6246 décès (+15)
- 503 personnes hospitalisées (-12)
- 82 personnes aux soins intensifs (+1)


Le plateau est long en esti.
 
LA SITUATION AU QUÉBEC EN DATE DU 31 OCTOBRE 2020
- 106 016 personnes infectées (+1064)
- 6246 décès (+15)
- 503 personnes hospitalisées (-12)
- 82 personnes aux soins intensifs (+1)

Bientôt, le système de santé québécois ne sera plus sur le bord de l'effondrement donc?
 
Les trois chiffres doivent descendre pour «*ouvrir le robinet*», le chiffre à atteindre pour les hospitalisations est 400.
 
LA SITUATION AU QUÉBEC EN DATE DU 31 OCTOBRE 2020
- 106 016 personnes infectées (+1064)
- 6246 décès (+15)
- 503 personnes hospitalisées (-12)
- 82 personnes aux soins intensifs (+1)


Le plateau est long en esti.

encore proche 30k tests? ils augmentent les tests pour faker le plateau
 
LA SITUATION AU QUÉBEC EN DATE DU 31 OCTOBRE 2020
- 106 016 personnes infectées (+1064)
- 6246 décès (+15)
- 503 personnes hospitalisées (-12)
- 82 personnes aux soins intensifs (+1)


Le plateau est long en esti.

le plateau correspond au niveau de confinement de la société j'ai pas vraiment d'espoir de voir baisser les chiffres. En fait, l'augmentation avait commencé à se stabiliser AVANT le premier confinement de 28 jours, suite au début de prise de conscience collectif que le retour en classe était un gros facteur de propagation. Les jeunes se sont adapté plus vite que ce que les boomers aiment répéter à la radio.
 
L’Angleterre tombe en total lockdown la semaine prochaine


J’ai un feeling qu’on va faire ça nous aussi pour «*Sauver noel*» et casser le plateau
 
Last edited:
le plateau correspond au niveau de confinement de la société j'ai pas vraiment d'espoir de voir baisser les chiffres. En fait, l'augmentation avait commencé à se stabiliser AVANT le premier confinement de 28 jours, suite au début de prise de conscience collectif que le retour en classe était un gros facteur de propagation. Les jeunes se sont adapté plus vite que ce que les boomers aiment répéter à la radio.

https://www.journaldequebec.com/202...s-au-quebec-demain-une-semaine-apres-lontario

des que ca baisse, on va ajouter autant de tests rapides nécessaires pour tenir le nb de cas assez haut pour garder le lockdown. En plus tests rapides même pas de guess ils votn pouvoir arrêter de tester rendu à leur cible de x cas positifs
 
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