Positive Story About Police and Supercars

Je vois souvent un véhicule de police de transport d'organe sur la 10. A quelques reprises il roulait sur un moyen criss de temps.

Au Quebec c'est des policiers bénévoles qui pilote le transport


https://www.lhebdojournal.com/des-policiers-benevoles-pour-le-transport-dorganes-donnes/

DONS D’ORGANES. Depuis huit ans, l’agent François Gosselin de la Sûreté du Québec (SQ) se porte volontaire pour faire le transport d’organes donnés.

«J’ai commencé à faire ça bénévolement parce que c’est une belle cause. C’est la relation d’aide qui prend tout son sens», dit-il. Depuis environ trois ans, le policier a même pris en charge la coordination du service de transport, en collaboration avec Transplant Québec, l’organisation qui gère le don d’organes à travers la province.

À ses côtés se trouvent une vingtaine de policiers, tous bénévoles eux aussi. «Quand il y a un transport à organiser, Transplant Québec téléphone à la centrale, qui me redirige l’appel. Ensuite, je vois qui dans l’équipe peut y aller, explique l’agent Gosselin. La plupart des bénévoles sont à Drummondville, mais on en a aussi dans le coin de Victoriaville.»

«Quand on reçoit un appel, le délai peut être de plusieurs heures ou bien très court, ajoute ce dernier. Ce n’est jamais pareil. Ils peuvent nous dire, par exemple, qu’ils ont besoin de nous à tel endroit à telle heure le lendemain ou ils peuvent nous dire que c’est dans une heure. On s’organise en conséquence.»

La plupart du temps, ce sont des reins qui sont confiés aux policiers. Les déplacements se font généralement vers Montréal et Québec. «On va aussi à Trois-Rivières depuis quelque temps, indique M. Gosselin. On se déplace en mode urgence avec les gyrophares et les sirènes. Plus on est rapide, moins les chances de rejet suite à la greffe sont élevées.»

Au total, entre 40 et 60 transports sont effectués par les policiers bénévoles chaque année. Il arrive qu’ils doivent en faire plusieurs une même semaine, tout comme ils peuvent n’en faire aucun pendant plusieurs jours. Cela dépend des besoins.

«Quand on fait ça, on réalise la gravité de la situation et l’importance de tout ça pour ceux qui attendent une greffe. À Montréal, il nous arrive de transporter les reins jusqu’à l’unité de la greffe rénale. C’est dans des moments comme ça que ce qu’on fait prend tout son sens. Et si de parler de ce qu’on fait peut faire en sorte que plus de gens signent leur carte pour le don d’organes, ce sera déjà une belle victoire», mentionne l’agent François Gosselin.

Identification et prélèvements

Bien qu’on ne fasse pas de greffe d’organes dans la région, les professionnels des centres hospitaliers travaillent pour la cause en amont. «On fait principalement deux choses : l’identification des donneurs potentiels et le prélèvement de certains organes», précise Dre Marie-Josée Bériault, chef de service des soins intensifs du CHAUR et coordonnatrice régionale du don d’organes et de tissus.

Les donneurs potentiels peuvent être notamment des gens en état de mort cérébrale et des personnes ayant demandé l’aide médicale à mourir.

«Quand un médecin est face à un patient ayant subi un gros AVC, un trouble crânien ou un arrêt cardiaque avec dommages neurologiques, un travail de réflexion s’entame. On doit d’abord déterminer si le patient peut être un donneur et ensuite valider avec Transplant Québec si tel est le cas», explique Mme Bériault.

Cette dernière remarque que la difficulté majeure avec le don d’organes, ce n’est pas la volonté de donner, mais bien le manque de communication entre les donneurs et les membres de leur famille.

«Même si une personne signe sa carte, il faut que la famille soit consentante, indique la médecin. Et souvent, la famille n’est pas au courant de la décision de la personne. La meilleure chose à faire, c’est d’en informer nos proches quand on signe notre carte. Ça peut éviter bien des surprises et on s’assure ainsi que notre choix est respecté», conclut Marie-Josée Bériault.

Le don d’organes en chiffres

497 personnes ont été transplantées au Québec en 2018. De ce nombre, 451 personnes ont reçu un organe de donneurs décédés.
Au total, ce sont près de 2 400 personnes qui ont été transplantées en 5 ans (de 2014 à 2018), ce qui représente une moyenne de 478 personnes par année.
En 2018, pour la Mauricie et le Centre-du-Québec, 10 donneurs ont permis de transplanter 33 organes.
 
Pourquoi que la police aurait le droit de rouler plus vite que les limites permises ? C'est clairement prouvé que la vitesse est la cause de mortalité sur les routes.

Si c'est juste une question de formation, pourquoi ne pas l'offrir au grans publique ? Cela ne ferait qu'améliorer le bilan routier.

Asti je devrais être politicien.
 
Pourquoi que la police aurait le droit de rouler plus vite que les limites permises ? C'est clairement prouvé que la vitesse est la cause de mortalité sur les routes.

Si c'est juste une question de formation, pourquoi ne pas l'offrir au grans publique ? Cela ne ferait qu'améliorer le bilan routier.

Asti je devrais être politicien.

Y en a déjà une formation offerte au grand publique pour pouvoir rouler plus vite que les limites permises, ça s'appelle une technique policière.
 
Can I apply to be part time don d'organes driver? Results guaranteed inshallah, 15 years experience on the streets. Ill do it benevolat couple of hours a week.
 
Merci du partage!

J'aime BEAUCOUP mieux le bleu et blanc des corps policier européens que le noir et vert des américains (qui a déteint sur nous avec le temps).
Je trouve que ça fait plus chaleureux, rassurant, paisible et moins intervention tactique, armes, agression.

Ouais mais j'ai toujours trouvé les sirènes de police et services d'urgence euros, risibles.
 
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