Post du Docteur Alain Vadeboncoeur sur Facebook. Son raisonnement est clair.
«*Ouverture des écoles en mai? En l'absence d'explication, je spécule un peu pour essayer de comprendre.
Le raisonnement choisi pourrait être le suivant: primo, tant qu'on n’a pas l'immunité ou un vaccin, l'infection va rester très difficile à "contrôler" sans mesures de distanciation. Mais le vaccin n'étant pas pour demain, il faudrait maintenir la distanciation très longtemps. Et le vaccin n'est pas garanti non plus...
Or, d'une part, il faut finir par ouvrir les écoles, non? Dans ce contexte, comment trouver une manière de développer l'immunité sans catastrophe? Comment répandre de manière "contrôlée" l'infection.
Si on les ouvre en mai-juin, pour deux mois, on a ensuite l'été pour "s'en remettre", des mois où généralement ce genre d virus se répand moins rapidement. Puis on ouvre ensuite à l'automne, avec une partie des enfants immunisée, et donc une poussée moindre à l'automne.
Si, par contre, on ouvre seulement à l'automne, avec une montée virale dans les mois qui suivent, en plein hiver, qui favorise généralement la propagation virale, cela pourrait être un pire scénario.
PS: Et en plus, à l'automne, la grippe sera là. Si c'est une mauvaise saison de grippe, ça pourrait frapper un peu trop fort.*»
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Disons qu’on ne pourra pas commencé à gérer les «*exceptions*» dans la société et le gouvernement gouvernera pour l’ensemble de la société
Toutefois, les exceptions du type (immunosupprimé) risque de la trouver moins drôle