m_falafel
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Ceci n'est qu'un passage, pour l'article complet, voici le lien:
http://www.cyberpresse.ca/actualite...4490285-la-soeur-de-tooba-yahya-se-confie.php
"Le soir, Soraya est revenue sur la mort des filles de Tooba, qu'elle n'a jamais connues. Elle les a pleurées. «C'était tellement dur. Pendant un mois, je ne savais plus qui j'étais.»
Soraya a été scandalisée lorsque je lui ai montré les photos des filles, avec leurs décolletés plongeants et leurs jupes trop courtes. Elle ne comprend pas leur rejet des coutumes afghanes ni leur volonté de fréquenter des garçons. Elles ont bafoué l'honneur de la famille.
Si on respecte l'honneur, il ne peut pas y avoir de problème», a affirmé Soraya.
La fille aînée de Soraya, Farishta, a pincé les lèvres. Elle aussi désapprouve les filles de Tooba. «Elles n'ont pas respecté notre culture, nos traditions et notre religion.»
Farishta, elle, respecte les traditions. Elle s'est mariée à 15 ans. Ses parents ont choisi son mari, un cousin éloigné qui avait 19 ans de plus qu'elle. Aujourd'hui, elle a 28 ans et quatre enfants.
Soraya non plus n'a pas connu son mari avant de l'épouser. C'était un militaire qui vivait à Kandahar. Sa tante lui avait dit que c'était un homme bien. Il avait 27 ans et elle, 16.
L'honneur, l'honneur à tout prix. «C'est très important, a dit Soraya. Si quelqu'un ne respecte pas l'honneur, il n'est rien.
Peut-on tuer au nom de l'honneur? ai-je demandé.
Oui, a répondu Soraya. Si quelqu'un commet un acte odieux, il mérite d'être éliminé.
Les Afghans ont raison de tuer au nom de l'honneur, a ajouté le fils de Soraya, Hamed. Il faut à tout prix respecter l'honneur.»
Hamed a 26 ans. Il vient de se marier. Sa jeune femme, discrète, n'a pas dit un mot.
Le mari de Soraya, Habibullah, a été encore plus tranchant. C'est un homme de peu de mots, mais quand il s'agit de l'honneur, il parle. Si ses filles osaient bafouer son honneur, il n'hésiterait pas. «Je les mettrais dans un sac et je les éliminerais pour qu'on ne trouve plus jamais leurs traces en Afghanistan.»
L'aînée, Farishta, l'a approuvé. Les autres filles ont regardé leur père en silence.
La traduction des propos tenus en dari a été réalisée par un interprète, sur place, à Kaboul.
Nous l'avons aussi fait vérifier par Versacom, une firme de traduction recommandée par l'Ordre des traducteurs du Québec, terminologues et interprètes agréés du Québec. De rares mots étaient difficilement audibles. Mais selon Versacom, la traduction de notre interprète, présent à l'entrevue, «devrait être considérée exacte»."
Whhhaaaatttt thhheeeeee fuuuuccccckkkk!!!!!
On a un sérieux problème d'immigration si on laisse des psycopath comme ça entrer ici.
Question aux musulmans du board: Honnêtement, est-ce que votre famille qui habite encore là-bas pense comme ça aussi?!
http://www.cyberpresse.ca/actualite...4490285-la-soeur-de-tooba-yahya-se-confie.php
"Le soir, Soraya est revenue sur la mort des filles de Tooba, qu'elle n'a jamais connues. Elle les a pleurées. «C'était tellement dur. Pendant un mois, je ne savais plus qui j'étais.»
Soraya a été scandalisée lorsque je lui ai montré les photos des filles, avec leurs décolletés plongeants et leurs jupes trop courtes. Elle ne comprend pas leur rejet des coutumes afghanes ni leur volonté de fréquenter des garçons. Elles ont bafoué l'honneur de la famille.
Si on respecte l'honneur, il ne peut pas y avoir de problème», a affirmé Soraya.
La fille aînée de Soraya, Farishta, a pincé les lèvres. Elle aussi désapprouve les filles de Tooba. «Elles n'ont pas respecté notre culture, nos traditions et notre religion.»
Farishta, elle, respecte les traditions. Elle s'est mariée à 15 ans. Ses parents ont choisi son mari, un cousin éloigné qui avait 19 ans de plus qu'elle. Aujourd'hui, elle a 28 ans et quatre enfants.
Soraya non plus n'a pas connu son mari avant de l'épouser. C'était un militaire qui vivait à Kandahar. Sa tante lui avait dit que c'était un homme bien. Il avait 27 ans et elle, 16.
L'honneur, l'honneur à tout prix. «C'est très important, a dit Soraya. Si quelqu'un ne respecte pas l'honneur, il n'est rien.
Peut-on tuer au nom de l'honneur? ai-je demandé.
Oui, a répondu Soraya. Si quelqu'un commet un acte odieux, il mérite d'être éliminé.
Les Afghans ont raison de tuer au nom de l'honneur, a ajouté le fils de Soraya, Hamed. Il faut à tout prix respecter l'honneur.»
Hamed a 26 ans. Il vient de se marier. Sa jeune femme, discrète, n'a pas dit un mot.
Le mari de Soraya, Habibullah, a été encore plus tranchant. C'est un homme de peu de mots, mais quand il s'agit de l'honneur, il parle. Si ses filles osaient bafouer son honneur, il n'hésiterait pas. «Je les mettrais dans un sac et je les éliminerais pour qu'on ne trouve plus jamais leurs traces en Afghanistan.»
L'aînée, Farishta, l'a approuvé. Les autres filles ont regardé leur père en silence.
La traduction des propos tenus en dari a été réalisée par un interprète, sur place, à Kaboul.
Nous l'avons aussi fait vérifier par Versacom, une firme de traduction recommandée par l'Ordre des traducteurs du Québec, terminologues et interprètes agréés du Québec. De rares mots étaient difficilement audibles. Mais selon Versacom, la traduction de notre interprète, présent à l'entrevue, «devrait être considérée exacte»."
Whhhaaaatttt thhheeeeee fuuuuccccckkkk!!!!!
On a un sérieux problème d'immigration si on laisse des psycopath comme ça entrer ici.
Question aux musulmans du board: Honnêtement, est-ce que votre famille qui habite encore là-bas pense comme ça aussi?!