Fermez les frontières, un nouveau virus apparaît: La COVID-19

Le but n'est pas de ne plus avoir de nouveau cas, mais de maintenir et contenir les cas, jusqu'à la guérison.

Pas avoir tout le monde en même temps aux urgences et leur laisser une chance de se préparer en amont.

Si tout le monde est à l'urgence en même temps, bin tu as plus de chances de mourir peu importe ton age et tu ne peux pas soigner à temps une personne qui a besoin d'un assistance d'urgence qui n'est pas en lien avec le Covid (AVC, Arrêt respiratoire, opération d'urgence etc)
 
ca me fait pensé au chum a ma mère. Qui est super cheap. (yé un peu riche a cause de sa mais bon)

Après il as lu le livre pere riche pere pauvre. Il vien me raconté plein de chose comme quoi économisé etc etc.
Pis après je dit que je veut pas allé en haut de 240k pour ma maison histoire de pas avoir une hypothèque trop grosse. Pis la il me pousse a acheté quelque chose a 300k a montréal etc...

Je comprend le move économique de montréal mais criss que sont discours concorde pas. Avec nos salaire 300k c'est beaucoup trop comme hypo... Le monde prendre des maisons trop grosse sérieusement

Tu vas toujours avoir un cas dans le placart à qqpart, l'idée qu'il y aura 0 cas est utopique. Tu as des sans abris qui peuvent-être des bombes à retardement.
 
Pour ceux qui disent que ça peut être long avant de passer 28 jours sans nouveau cas

Nous entrons dans les 3 pires semaines

Par la suite, les cas devraient diminuer

Si on résiste aux pires semaines, tout n'ira qu'en s'améliorant par la suite
 
Le but n'est pas de ne plus avoir de nouveau cas, mais de maintenir et contenir les cas, jusqu'à la guérison.

Pas avoir tout le monde en même temps aux urgences et leur laisser une chance de se préparer en amont.

Si tout le monde est à l'urgence en même temps, bin tu as plus de chances de mourir peu importe ton age et tu ne peux pas soigner à temps une personne qui a besoin d'un assistance d'urgence qui n'est pas en lien avec le Covid (AVC, Arrêt respiratoire, opération d'urgence etc)


Mon post à la page #14 de ce thread en Janvier quand j'ai dis ca en plein milieu du bandwagon de #JusteUneGrippe :


La différence c'est qu'une grippe sa tue les plus faibles et les vieux de 96 ans, alors que la population moyenne va s'en remettre sans aucun traitement.

Dans le cas du coronavirus on parle de complications respiratoires pas mal plus graves comme une pneumonie++, qui peut tuer même un average joe si ce n'est pas traité, c'est complètement différent.

Oui oui bien traité le average joe devrait s'en sortir sans problème, présentement on est capable de soigner une pneumonie sans trop de problèmes, sauf que le danger provient du fait qu'à partir du moment où sa devient une épidémie et que les hopitaux deviennent saturés et incapables de gérer la demande, là tu abouti avec des average joes qui n'ont pas accès à se faire traiter et là les décès vont monter en flèche, elle est là la nuance.

Lachez moi vos esti de chiffres de rhumes, quand est-ce que tu as vu un gouvernement fermer des villes à cause qu'il y a trop de rhumes lol...Sa répète ca partout sur facebook "Ouin mais les rhumes ouin mais les grippes" pas un chat qui est capable de comprendre la différence, jvais la prendre 200 fois ta grippe si j'ai le choix en ca ou pogner une pneumonie sévère sans pouvoir me faire traiter ALLLOOOOOOOOOOOOO

"Ouin mais c'est les médias qui exagèrent toute la patente pour rien" non dude, les gouvernements FERMENT DES VILLES c'est pas les médias qui l'inventent esti :laugh:

Présentement le % de morts est le même parce qu'un pneumonie ca va tuer les plus faibles et les vieux même si traités, comme une grippe. Quand les hopitaux seront saturés à grandeur du pays le % va monter exponentiellement et là ce ne sera plus juste les vieux qui vont y gouter...

Désolé fallait que je le fasse c'est trop satisfaisant :bigup:
 
Tka pour l'instant je vais vous dire qui a une mechante gang d'entreprise qui sont service essentiel. Il aurait du fermer la construction et ca fini la, ca aurais été plus simple.
 
Curious with your nickname, are you black? Or it has nothing to do with a reggae artist? Sorry for your truck man.

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Thanks man

Yeah had to do with reggae artist back in the days where i had no inspiration what so ever in creating a nick name. Also yes half half well light brown mostly . father from the islands svg , mother is Quebecoise

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On parle de plus en plus de l'après lockdown dans les médias.

ça pointe de plus en plus qu'il faudra que plusieurs affrontent ce virus.

Selon moi les moins de 50 ans qui n'ont pas de prédisposition vont repartir la machine et se passer le virus pour avoir un % d'immunité.

Ensuite il y aura du damage control à gérer pour les plus âgés et avec prédisposition.

Reste à voir si on aura des médicaments qui viendront appuyer.

Justement dans ma videoconférence teams de ce matin, mon employeur(université) commençait a parler de retour au travail progressif dans les prochaines semaines, genre moitié reste en télétravail et l'autre moitié retour progressif à la normal. Tant qu'on est pas coincé comme des sardines, je suis pour.
 
BoxsterBoy n'avait peut-être pas tort finalement puisque le Gouvernement serait peut-être en train de passer des choses sous silence en fait:


Le Devoir
Isabelle Paré
24 mars 2020
Santé
Depuis cinq jours, des urgentologues implorent sans succès Québec de resserrer le protocole suivi dans les urgences pour éviter une spirale épidémique. En raison de directives édictées par Québec, nombre de patients jugés « sans facteurs de risque », mais atteints de la COVID-19, « passent entre les mailles du filet » et continuent d’être pris en charge par du personnel sans masques ni protection adéquate, mettant en danger ceux qui sont sur la ligne de front pour combattre la pandémie.

« L’augmentation du nombre de cas officiels révélée aujourd’hui, on la vit déjà depuis cinq jours dans les urgences. La transmission communautaire est à l’œuvre ! Depuis jeudi dernier, on demande à Québec de resserrer le protocole. Mais rien ne bouge. Des hôpitaux refusent de donner des masques et du matériel à leur personnel. On est en train de manquer le bateau ! » a répété lundi le Dr Gilbert Boucher, président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec (ASMUQ), très inquiet de la situation.


Selon ce dernier, le protocole actuel prévoit toujours que seuls les patients « avec facteurs de risque », c’est-à-dire de retour de voyage, en contact avec un voyageur ou en contact avec une personne ayant reçu un diagnostic positif de COVID-19, doivent être pris en charge de façon isolée, par du personnel doté de l’équipement de protection « gouttelettes ». C’est la seule jugée sécuritaire pour prévenir la contamination du personnel à la COVID-19, à savoir des jaquettes jaunes pour le corps, des gants étanches et des masques de protection avec visière.

Or, depuis jeudi dernier, on rapporte que des dizaines de patients « sans facteurs de risque » se présentent aux urgences et sont bel et bien déclarés positifs à la COVID-19 quelques jours plus tard. Entre-temps, le virus se propage au sein du personnel et, parfois, parmi d’autres patients et dans la population.

Si le ministère de la Santé persiste à dicter aux hôpitaux de réserver les équipements de protection « gouttelettes » aux seules unités de soins intensifs, « c’est notre personnel de soins qu’on est en train de perdre. Qu’est-ce qu’on va faire dans quelques semaines ?  Il faut protéger nos gens », dit le Dr Boucher.

À l’hôpital Sainte-Justine, une douzaine de membres du personnel hospitalier aurait notamment été exposés à la COVID-19 par un bébé souffrant de bronchiolite et qui s’est révélé atteint de la maladie. Une douzaine d’autres à l’Hôpital général juif, où un patient « sans risque » est passé sous le radar.

« Les protocoles sont en retard de cinq jours sur la réalité. L’épidémie a changé de visage. On ne peut plus distinguer les patients COVID-19 positifs des patients COVID-19 négatifs sur la seule base des facteurs de risque. On ne parle plus de cas isolés. C’est partout, dans plusieurs hôpitaux. À Québec, ils ne sont pas dans la même réalité qu’ici », affirme le Dr Boucher, urgentologue de l’Institut de cardiologie de Montréal.

Des collègues de plusieurs hôpitaux ont rapporté au cours de la dernière fin de semaine des cas similaires, notamment dans les urgences de Maisonneuve-Rosemont, de Santa Cabrini, du CHU Sainte-Justine. « Ça rentrait de partout », dit-il. Comme le réclame le protocole actuel, ces patients ont malgré tout été renvoyés chez eux ou placés en salle d’attente avec un simple masque, comme n’importe quel patient souffrant de la grippe. Ils ne peuvent être testés, sauf si un « facteur de risque » est détectable.

Malgré les interventions répétées effectuées en haut lieu ces derniers jours, le porte-parole des spécialistes en médecine d’urgence affirme que rien ne bouge et que c’est toujours le silence radio à Québec. En conséquence, de 30 % à 40 % des hôpitaux continuent d’appliquer le protocole à la lettre, malgré le danger auquel est exposé son personnel. D’autres hôpitaux ont, de leur propre chef, décidé de rendre accessibles certains équipements pour éviter une hécatombe au sein de leur personnel.

Joint en soirée, Nicolas Vigneault, de la direction des communications du ministère de la Santé, a répondu au Devoir que « la procédure de triage est faite selon les recommandations du MSSS et de la santé publique en fonction d’une série de questions posées aux usagers. La clientèle qui ne correspond pas aux critères de la COVID-19 et qui a un portrait de maladie infectieuse respiratoire est déjà isolée dans un secteur d’isolement fermé dans les salles d’attente avec des mesures de protection adéquates ».

Or, l’ASMUQ estime qu’il est désormais urgent, à la lumière de ces nouveaux développements, d’étendre le protocole « gouttelettes » à tous les patients souffrant de symptômes grippaux qui se présentent aux urgences. Comme il n’y a pas assez de tests pour effectuer un dépistage auprès de tous les patients, l’association médicale prône la protection maximale des soignants. Seul progrès, depuis dimanche matin, le personnel médical et infirmier exposé à son insu aux patients déclarés positifs a maintenant accès à un test diagnostique dans un délai de 12 à 16 heures.

À l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, où un médecin de l’urgence a récemment contracté la COVID-19, les troupes sont très inquiètes, confirme le Dr Bernard Mathieu, porte-parole de l’Association des médecins d’urgence du Québec.
 
aujourd'hui, j'ai décidé de prendre 4 semaines de mes vacances pour rester à la maison avec ma blonde qui est prof et mon gars qui sont tous les 2 a la maison safe

A tous les jours depuis la semaines passer je stressais d'amener le virus a la maison, même si je fessais extrêmement attention.

Bien que je suis conscient qu'il y ai une chance que un de nous puisse avoir le virus, je prends quand même la chance que personne de nous ai le virus et qu'on soit safe pour un mois.

Inquiétez vous pas pour moi, j'ai 8 semaines de vacances pour 2020-2021 et il me restait 2 jours de 2019-2020.

Le S6 va dormir dans le garage sur le battery tender :)
 
Again not sure why anyone is shocked at this point.

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Nothing particularly shocking, I'm waiting to see if Trump is actually going to start calling for the lifting of quarantines and social distancing and which state governors are going to follow his lead. New York state is about to go bananas this week, and unemployment figures next week are going to be a huge slap in the face of this administration. What is he going to do?
 
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