En lisant cette chronique en fin de semaine,
J'avoue que j'ai trouvé ça inquiètant de voir que la jeune génération immigrantes à autant de mépris envers les québécois. Ironiquement, surtout les magrébins, dont ils ont les plus grand bénéficiares du mode de vie, de la paisibilité et de la liberté que le Québec leur offre.
Je suis né dans le quartier St-Michel à MTL, j'ai fréquenté des écoles publiques au secondaire et primaire et j'étais en minorité dans toutes les classes dont j'ai été et jamais, mais jamais un tel manque de respect et de mépris aurait passé à mon époque. Inversons les rôles et si un ''keb'' avait osé dire des choses aussi méprisante a des magrébins, ça aurait fait la une du journal et probablement que le gars se serait fait péter la gueule dans la cour d'école...
J'ai l'impression qu'on s'en va directement dans le mur. On est pris dans le jello!
Je me rappelle des interventions musclées à mon secondaire ou des élèves ridiculisaient la culture québécoise et insultaient le québec et mon enseignant les avait ramasser au point de les faire pleurer, ça ne se verrait plus maintenant disons-le
Identité anti-québécoise
Un mépris des «Kebs», et plus largement de la culture québécoise, se voit et s’entend dans nos écoles.
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J'avoue que j'ai trouvé ça inquiètant de voir que la jeune génération immigrantes à autant de mépris envers les québécois. Ironiquement, surtout les magrébins, dont ils ont les plus grand bénéficiares du mode de vie, de la paisibilité et de la liberté que le Québec leur offre.
Je suis né dans le quartier St-Michel à MTL, j'ai fréquenté des écoles publiques au secondaire et primaire et j'étais en minorité dans toutes les classes dont j'ai été et jamais, mais jamais un tel manque de respect et de mépris aurait passé à mon époque. Inversons les rôles et si un ''keb'' avait osé dire des choses aussi méprisante a des magrébins, ça aurait fait la une du journal et probablement que le gars se serait fait péter la gueule dans la cour d'école...
Dans le cadre de son cours, toujours à Regina Assumpta, une autre prof devait aborder le thème de l’identité. Elle raconte : « Alors que nous étions en pleine discussion sur nos valeurs en tant que citoyens, un des deux élèves de souche de mon groupe a levé la main pour s’exprimer. C’est alors que tout le groupe s’est mis à rire et à huer en disant que les Kebs n’avaient pas de valeurs et que nos filles et nos femmes sont en fait des traînées (j’emploie un vocabulaire acceptable ici […]). Je suis rapidement intervenue et fus coupée par un grand gaillard d’origine maghrébine qui m’a lancé : “Madame, vous ne pouvez pas comprendre parce que les Kebs, vous n’avez pas de culture. Vous faites des trucs de Blancs comme aller au chalet et faire du ski et vous n’éduquez pas vos enfants.” »
Elle continue : « Que dire de mon petit élève “de souche”, musicien de l’orchestre à cordes du collège, qui a osé jouer un petit rigodon pour égayer notre activité de Noël en classe ? Les élèves se sont mis à rire de lui, à l’injurier et à lui lancer des objets. Plus tard, cette même journée, de la musique libanaise se faisait pourtant entendre dans la salle de niveau où tous les élèves se rassemblent et où plusieurs se sont mis à danser le dabkeh sous les applaudissements de la foule en délire. »
Elle poursuit : « Et comment se porte aujourd’hui cette élève québécoise francophone qui, en classe, a osé dire que les Québécois francophones avaient subi de la discrimination dans le passé ? [Elle] s’est fait insulter et menacer sur les réseaux sociaux pour ses propos que les autres élèves jugeaient racistes et déplacés puisque, selon eux, les Québécois francophones n’avaient pas vraiment souffert. » Une élève de cette classe confirme l’incident.
J'ai l'impression qu'on s'en va directement dans le mur. On est pris dans le jello!
Je me rappelle des interventions musclées à mon secondaire ou des élèves ridiculisaient la culture québécoise et insultaient le québec et mon enseignant les avait ramasser au point de les faire pleurer, ça ne se verrait plus maintenant disons-le