Est-ce que le marché immobilier Montréalais va plonger ?

Attendez-vous une correction du marché immobilier montréalais

  • Je crois qu'il n'y aura aucune ou une très légère correction

    Votes: 38 61.3%
  • Je crois qu'il va y avoir une bonne correction et que les prix vont diminuer de façon significative

    Votes: 24 38.7%

  • Total voters
    62
Actuellement la mise en chantier résidentiel est en baisse de 1.2% au Quebec en 2012 par rapport a 2011 mais sa l'exclue le derniers trimestre.
 
I predict a light correction because of the new mortgage regulations originally made to cool the Toronto and Vancouver housing markets. However we might not even get a significant correction here in Montreal since we haven't had the same overload of buying here as they did in other Canadian cities.
 
only properties that are valued 1 mil + on the island of montreal will go down in the up coming years and south shore/laval will drop a tad, not much, rates will also rise. Its a good time to buy a triplex, more people will rent when the rates go up,
 
Yes prices will drop. The economy/job market can't support current prices. The finance minister Jim Flaherty said it himself that current interest rates are "artificially low".

That means 100% they're going up. People are paying their mortgages while living paycheck by paycheck. Add an extra couple of hundred dollars a month and they're fucked.

The Montreal area and close surroundings won't see that much of a hit though. It's suburbia that will be crushed.
 
Are house sellers too stubborn?

BY ALLISON LAMPERT, THE GAZETTEJANUARY 8, 2013


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For sale signs are plentiful in Montreal and the suburbs; buyers however are not.
Photograph by: Allen McInnis, The Gazette


MONTREAL - Consider it a New Year’s resolution for Montrealers selling their homes at a time when the words “moderation” and “reasonable” are in vogue.

With the housing market undergoing at least a mild correction in 2013, sellers will need to recognize they can no longer count on low interest rates, or a fierce bidding war to get the full listing price for their homes, the Quebec director of Royal LePage Real Estate Services said Tuesday.

As the housing market softened toward the end of 2012, homeowners have opted to hold instead of lowering their prices, a factor that contributed to weaker sales at the time, director Dominic St-Pierre said.

“The sellers are still really stubborn with their prices,” he said. “They are just not selling if they don’t get the price that they want.

“In the first part of 2013, we expect the sellers will start adapting.”


After years of record-breaking levels of construction, Montreal condo buyers are expected to have an abundance of choices this year, with inventory soaring 30 per cent, on an annual basis, at the end of 2012.

Even in Toronto, where the highrise market has provoked widespread fears of a housing bubble, the condo inventory at year’s end was only 7.4 per cent higher compared with the same period a year earlier.

In this context, Royal LePage’s prediction of a 3.8-per-cent rise in average Montreal home prices this year might be “aggressive,” but St-Pierre said strong Quebec employment numbers have helped the market fare better than many expected.

According to the Royal LePage House Price Survey and Market Survey Forecast published Tuesday, Montreal and Regina would have the highest rise in average prices in 2013, ahead of the once-sizzling Toronto and Vancouver markets. Nationally, home prices are expected to remain virtually flat this year, Royal LePage predicted, even as the country’s top bankers said Tuesday they expect the real estate market, including condominiums, will make a soft landing in 2013.

But already, some analysts, disagreed with the likelihood of prices rising in Montreal this year, given that the entire market — including single family homes — is shifting toward one that favours buyers.

National Bank Analyst Marc Pinsonneault said he is expecting about a five-per-cent drop in Montreal prices this year as sellers are faced with the choice of holding their properties or lowering their expectations.

Several real estate brokers say sellers now recognize they’ll have to lower prices that are no longer realistic.

“Sellers are asking for prices based on a five-per-cent to seven-per-cent increase in value per annum over the past two to three years,” observed Royal Lepage broker Ray Singh.


While sellers may not be forced to take the extreme step of auctioning off their homes, as did the owner of a high profile Hudson mansion in 2011, Singh and other Montreal real estate brokers are now seeing examples of houses being sold for $200,000, or even $500,000 below the original listing price.

One suburban Montreal home listed for $2.4 million boasted a “fabulous solarium-style outdoor living room,” O’Hara style staircase. But five months later, the Dollard des Ormeaux home sold for $1.85 million, or about 25 per cent below asking price.

In another recent case, a four-bedroom Hampstead home initially listed for $1,095,000 ended up selling for $810,000.

The Greater Montreal Real Estate Board couldn’t say whether the gap between the asking and sales prices has widened over the last quarters. That’s because the board only tracks the final — and not the initial — asking price for a home.

Board data for the last three months of 2012 won’t be available until a conference held on Jan. 22.

Canadian Press contributed to this report.

alampert@montrealgazette.com

Twitter: @RealDealMtl

© Copyright (c) The Montreal Gazette
http://www.montrealgazette.com/busi...eowners+opted+hold+instead/7792099/story.html


Je ne crois pas que la croissance économique à Montréal a été suffisante pour permettre à autant de gens d'acheter une propriété avec des cash down minimes.

Ça va faire mal tantôt.

CASH IS KING
 
Moi je dirais peut être pour les maisons , mais oui pour les condos. Trop des constructions a Montréal.
 
tiens tiens.... diminution des loyers de condo locatifs ....

L'embarras du choix pour les locataires
Publié le 09 janvier 2013 à 11h41 | Mis à jour à 12h42

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Martin Cheff a eu un retour de vacances mouvementé. À son arrivée au bureau cette semaine après le congé du Nouvel An, le courtier immobilier de Century 21 avait une véritable «pile de gens à rappeler».

«Le téléphone sonne sans cesse, et depuis un mois et demi, on voit une augmentation du nombre d'appels de propriétaires qui cherchent des locataires pour leurs condos», explique M. Cheff, spécialisé dans la location de copropriétés.

«J'en ai eu 10 à louer d'un coup», dit pour sa part Monique Assouline, du Groupe immobilier Londono, elle aussi férue dans le domaine.

Le début d'année occupé de ces courtiers est le reflet d'un phénomène en pleine explosion dans la métropole. Le nombre de condos utilisés à des fins locatives est passé de 6552 à 9158 entre octobre 2011 et octobre 2012 dans l'île de Montréal, d'après les plus récentes données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Un bond de 40% en une petite année.

Une simple visite sur les sites de petites annonces ou sur le système interagences (MLS) permet de constater l'éventail de condos à louer, surtout au centre-ville dans les quartiers centraux. Plusieurs complexes de copropriétés terminés ces derniers mois - comme le Séville et le M9 - sont venus gonfler une offre déjà considérable.

Loyers en baisse

David L'Heureux, analyste de marché à la SCHL, ne craint pas une suroffre à court terme. Il signale que le taux d'inoccupation des copropriétés locatives est à peu près stable (2,8% en octobre contre 2,5% un an plus tôt) et même beaucoup plus bas qu'en 2010 (4,2%).

Quoi qu'il en soit, la pression sur les prix est évidente. Le loyer moyen des condos locatifs a reculé de 1241$ à 1131$ depuis un an dans l'île de Montréal, soit une chute de 10%, indiquent les données de la SCHL. Dans la région métropolitaine, le loyer a glissé de 1087$ à 997$ pendant la même période.

Le message pour les propriétaires est de plus en plus clair: affichez au bon prix, ou vous ne louerez pas. «Il y a beaucoup de compétition, confirme Martin Cheff, fondateur du site alouermontreal.com. Il faut que le prix soit fixé intelligemment, sinon le condo peut rester vacant pendant plusieurs mois.»

Même son de cloche chez la courtière Monique Assouline. «Si les prix sont trop chers, c'est sûr que le téléphone ne va pas sonner. Je montre les comparables aux propriétaires, et ils savent ce qui s'est loué à quel prix.»


Écart immense

Si les condos locatifs sont de plus en plus nombreux à Montréal, ils constituent encore une mince portion de tous les logements offerts sur le marché. Quelque 14 300 copropriétés sont ainsi utilisées à des fins locatives dans la région métropolitaine, en comparaison d'un parc de 453 522 appartements traditionnels.

L'Association des propriétaires du Québec, qui déplore souvent les règles trop strictes de la Régie du logement, se dit néanmoins pénalisée par la montée en force des condos locatifs. «Évidemment, c'est un élément supplémentaire dans la concurrence, dit son président Martin Messier. Dans l'ensemble, on a un marché qui n'est pas facile pour les propriétaires, et dans les zones où il y a plusieurs condos qui se sont construits, il y a déjà un impact.»

Les effets sont d'autant plus grands que les propriétaires de bâtiments de moins de cinq ans - condos ou appartements - peuvent se soustraire au contrôle des loyers de la Régie, en cochant une case sur le bail locatif. «Ils peuvent donc afficher à un prix très agressif, dans le but de le louer rapidement, et dans les cinq premières années, ils peuvent faire fluctuer le flux du loyer sans respecter la méthode de la Régie du logement», indique M. Messier.

La construction de nouveaux appartements traditionnels est pratiquement au point mort depuis des années à Montréal. Il s'est ajouté à peine 3700 unités depuis un an dans la région métropolitaine, tandis que 11 169 nouveaux condos ont été érigés pendant les 11 premiers mois de 2012, selon la SCHL.
 
Tabarnac, je commence de plus en plus de regretter mes moves.

J'ai acheté une maison de ville y'a deux ans, un garage y'a un an pis un 4 logement y'a quelques mois. Ici les prix sont déjà BEAUCOUP plus bas qu'à Mtl, mais à voir la tendance j'aurais du attendre j'aurais probablement pu en acheter plus pour autant d'argent...
 
The bubble is already going pop on the South Shore, areas like Longueuil/Brossard etc..

I see houses for sale everywhere (I know I'm looking to buy) and they stay on the market for over a year now.
 
The bubble is already going pop on the South Shore, areas like Longueuil/Brossard etc..

I see houses for sale everywhere (I know I'm looking to buy) and they stay on the market for over a year now.

Même chose à Sherbooke. Y'a des pancartes à vendre PARTOUT.
 
I predict a light correction because of the new mortgage regulations originally made to cool the Toronto and Vancouver housing markets. However we might not even get a significant correction here in Montreal since we haven't had the same overload of buying here as they did in other Canadian cities.

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la bulle c'est beaucoup plus l'ouest et toronto, montreal est relativement stable a la limite les prix vont stagner...that it!!!! revenir a un marcher avec plus de vendeur alors les prix vont stabiliser/bougerons pas

ceux qui attende des baisse de 10% 15% 25%.....pour acheter une maison dans 2 ou 3 prochaine années...... faite vous a l'idée vous achterez juste jamais de maison!!!!

et pour en etre sur de vous le rappeler je vais récussiter ce thread a chaque année pendant les 3 prochaine année juste pour rire encore plus......
 
Sherbrooke est un petit marché mais il y a une tendance particuliere.

Il y a environ 3-4 ans, le taux d'innocupation des loyers était a 1-2%. Actuellement on dépasse le 5%....

Pk?

Le prix des logements de luxe était élevé et il y avait une certaine rareté
Il y a eu un boom dans la construction de logement de luxe ( 3-4-51/2, plancher de beton, thermopompe, etc). L'arrivé d'un paquet de logement neuf de qualité a fait chutter les prix des logements ''de luxe'' mais le probleme est qu'on a ouvert un shit load de maison jumelé a partir de 125k en meme temps.

Le probleme était rendu que pour le meme prix qu'un grand logement, tu étais propriétaire d'un jumelé. Ceux qui en avait pas les moyens avait tout de meme acces a des beau logement flambant neuf.


Premier constat: PLusieurs immeuble de qualité ayant moins de 5 ans d'age sont devenue vacant car la compétition était trop forte et les prix était déja dictée par les hypotheque élevé de ses batisses construit a gros prix. Les proprios de logement se sont fait ramasser par l'arrivé des jumelé a rabais et des logements neuf.


Deuxieme probleme: CEux qui ont acheter des jumelés a 125k ont vue leur maison prendre 25k a 50k en quelques années a cause du marché. Donc combine un cash down théorique a un taux hypothecaire tres bas, le monde ont déménager dans des maisons plus chere.


Au final:
-Parc de logements trop grand avec beaucoup d'immeuble flambant neuf vacant
-Explosion de la valeur des jumelés et unifamiliale
-Explosion du prix des terrains pcq les contracteurs se sont garoché sur la manne des jumelés
-Plusieurs propriétaire de maison hypothequer a faible taux au dela de leur capacité a payer ( avec la prise de valeur du jumelé ils ont réhyopthequer pour modifier ou déménager en se disant que sa allait encore prendre de la valeur.

Actuellement les logements sont difficile a louer, les prix sont bas et avec le shit load d'hypotheque a la gorge, si le taux d'intéret monte, il va avoir des quartiers complet avec des pancartes a vendre dessus.
 
You know what really grinds my gears about MLS and Duproprio?

-Buildings that have been listed for 1+ year and no adjustment in asking price.
-4plexes, bought 25 years ago at ~$350 000, bringing in $30 000/year, ~$8000 in expenses (heating oil, school+property taxes), but asking price today is $850 000....wtf man. After a lien check on the city's website, you see that the place was remortgaged on the paper increase 2 years ago for another $200 000, which the guy probably used to buy another building. Eat shit assholes.

I hope interest rates go up and all these fuckers go under. Today's article in the Gazette about sellers being stubborn hit the nail on the head.
 
Last edited:
Ca me fait rire, on disait la même chose en 2004-2005 après le boom du début des années 2000...depuis j'ai acheté et vendu plusieurs propriété à profit pendant que les mêmes alarmistes payent encore du loyer en attendant le "deal". lol
 
The bubble is already going pop on the South Shore, areas like Longueuil/Brossard etc..

I see houses for sale everywhere (I know I'm looking to buy) and they stay on the market for over a year now.

Yeah and then they write fake days on market in their stats because they only count the last listing...not the time with precious listings!

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Je pense m'acheter un condo ou une petite maison dans la région de St-Hubert / St-Bruno / St-Basile dans les 6 prochains mois.

Ou je peux trouver des statistiques, et des faits pertinents sur l'évolution du marché et des perspectives?

Merci!!
 
theeconomicanalyst.com mais les updates sont tres tres rares, sauf que ce gars la a toujours les chiffres et graphiques pour backer.
 
Sherbrooke est un petit marché mais il y a une tendance particuliere.

Il y a environ 3-4 ans, le taux d'innocupation des loyers était a 1-2%. Actuellement on dépasse le 5%....

Pk?

Le prix des logements de luxe était élevé et il y avait une certaine rareté
Il y a eu un boom dans la construction de logement de luxe ( 3-4-51/2, plancher de beton, thermopompe, etc). L'arrivé d'un paquet de logement neuf de qualité a fait chutter les prix des logements ''de luxe'' mais le probleme est qu'on a ouvert un shit load de maison jumelé a partir de 125k en meme temps.

Le probleme était rendu que pour le meme prix qu'un grand logement, tu étais propriétaire d'un jumelé. Ceux qui en avait pas les moyens avait tout de meme acces a des beau logement flambant neuf.


Premier constat: PLusieurs immeuble de qualité ayant moins de 5 ans d'age sont devenue vacant car la compétition était trop forte et les prix était déja dictée par les hypotheque élevé de ses batisses construit a gros prix. Les proprios de logement se sont fait ramasser par l'arrivé des jumelé a rabais et des logements neuf.


Deuxieme probleme: CEux qui ont acheter des jumelés a 125k ont vue leur maison prendre 25k a 50k en quelques années a cause du marché. Donc combine un cash down théorique a un taux hypothecaire tres bas, le monde ont déménager dans des maisons plus chere.


Au final:
-Parc de logements trop grand avec beaucoup d'immeuble flambant neuf vacant
-Explosion de la valeur des jumelés et unifamiliale
-Explosion du prix des terrains pcq les contracteurs se sont garoché sur la manne des jumelés
-Plusieurs propriétaire de maison hypothequer a faible taux au dela de leur capacité a payer ( avec la prise de valeur du jumelé ils ont réhyopthequer pour modifier ou déménager en se disant que sa allait encore prendre de la valeur.

Actuellement les logements sont difficile a louer, les prix sont bas et avec le shit load d'hypotheque a la gorge, si le taux d'intéret monte, il va avoir des quartiers complet avec des pancartes a vendre dessus.

Aux dernières nouvelles le taux d'inoccupation serait aux alentours de 10%. Je me rappel pu où j'ai lu ça je pense que c'est dans le journal de la RPHL. Pis une dame qui travail dans une gestion immobilière m'a dit la même chose.
 
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